Brèves

Faits divers
Course-poursuite entre Harissa et Madfoun : un mort et un blessé

Un réfugié palestinien a été tué et un soldat de l'armée blessé dans un échange de coups de feu au barrage de Madfoun. Dans les faits, une Mercedes 300, grise, ayant à son bord quatre individus qui avaient ouvert le feu au niveau du barrage du téléphérique de Harissa et qui étaient poursuivis par l'armée, ont tiré de nouveau à Madfoun en direction de la troupe, blessant légèrement le soldat Khaled el-Sayed. L'armé a riposté, tuant l'un des occupants du véhicule. Il s'agit du réfugié palestinien Alaa Mahmoud Hussein.
L'armée a arrêté les trois autres occupants de la voiture, Firas Tarm (syrien), Raed Ghazi (palestinien) et Hussein Achkar (libanais). Il s'est avéré après la course-poursuite et l'arrestation que les quatre individus étaient recherchés par la police.

La police arrête un pickpocket

La police a arrêté un pickpocket qui avait effectué plusieurs vols au bord de sa motocyclette et ce dans diverses régions du Mont-Liban. Lors de l'un de ces derniers vols en date, il s'était fait passer pour un membre des services de sécurité et il avait ainsi réussi à dépouiller de leurs possessions trois personnes à Choueifate.

Arrestation de quatre pêcheurs à Saïda

À Saïda, la police a effectué plusieurs patrouilles en mer et a arrêté quatre pêcheurs qui travaillaient de façon illégale, utilisant du matériel et des filets n'obéissant pas aux normes en vigueur et nuisant à l'environnement.
Toujours au Liban-Sud, notamment à Tyr et à Sarafand, la police a mis en garde les personnes utilisant des jet-skis de s'approcher des plages où se trouvent les baigneurs.

Fraude
Du fuel-oil mélangé à l'essence

Des sources bien informées ont rapporté à l'agence al-Markaziya que certains commerçants et intermédiaires mélangent de l'essence au fuel-oil et vendent ce produit frelaté en tant qu'essence pure à Beyrouth, au Liban-Sud et dans la Békaa.
Selon ces mêmes sources, ces commerçants et intermédiaires sont en train d'importer le fuel-oil vers le Liban à travers le port de Beyrouth ainsi qu'à travers la frontière terrestre libanaise. Le produit frelaté est vendu ensuite aux stations d'essence à un prix moins élevé que celui imposé par le ministère des Ressources hydrauliques.