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Santé

Brèves

Journée d'ophtalmologie à la Clinique du Levant

 

La Clinique du Levant a organisé un congrès sur l'ophtalmologie placé sous le thème « Kératocônes : de A à Z ». Plus de 200 spécialistes du Liban et du monde arabe ont participé aux travaux de cette journée animée par quatre conférenciers de renommée internationale. Toutes les nouveautés thérapeutiques ont ainsi été développées ainsi que les nouveaux moyens de diagnostic.
Le kératocône est une maladie dégénérative de l'œil qui se traduit par une perte de la sphéricité de la cornée qui prend alors la forme d'un cône. La maladie, la plus commune des dystrophies de la cornée, peut causer des distorsions substantielles de la vision. Elle demeure peu connue et ses causes incertaines.

Viande : les amateurs et... les allergiques !

 

Agneau, bœuf, porc, cheval, lapin et même kangourou... Saviez-vous qu'il existe des allergiques à la viande ?
« La fréquence de cette allergie reste globalement rare », rassure le Dr Martine Drouet du CHU d'Angers, citée par l'agence Destination santé. Mais le cas échéant, les conséquences peuvent en être dramatiques.
La littérature rapporte en effet quelques cas de syndrome néphrotique (une insuffisance rénale grave) causés par l'ingestion de viande de porc. « Cette allergie alimentaire peut être sévère, voire mortelle », confirme-t-elle dans la Revue française d'allergologie.
Fort heureusement, dans la très grande majorité des cas, les symptômes prennent plutôt la forme d'un gonflement des lèvres, de démangeaisons, d'un œdème à la joue, d'une urticaire, voire d'une rhinite ou d'une conjonctivite. Pour l'allergologue, le défi est alors de pointer le ou les allergènes en cause. La démarche relève parfois d'une véritable « enquête policière ».
Bien souvent en effet, « l'allergie alimentaire aux viandes se situe dans un contexte d'allergie croisée : entre poils de mammifères et viande par exemple, ou entre viande de volaille et œuf ». Mais il peut exister aussi des implications plus inattendues, comme le croisement d'une allergie à certaines viandes et des médicaments. C'est ainsi que les allergiques à la viande de porc pourraient réagir à l'héparine. Et pour cause, les anticoagulants qui en contiennent étant issus d'intestins de porcs.
La sérum-albumine (SA) - également impliquée dans l'allergie au lait - est souvent en cause dans les allergies aux viandes, de porc et de bœuf notamment. La bonne nouvelle, c'est que cette protéine ne résisterait pas à la cuisson. Ce qui n'est pas le cas de la myoglobine, allergène dans ce type de circonstances. Au moindre doute, consultez votre médecin généraliste ou un allergologue.

L'aspartame ? Aucun risque, sauf pour certains malades

 

L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) confirme une nouvelle fois l'innocuité de l'aspartame, rapporte l'agence Destination santé. Elle réfute les affirmations d'une équipe italienne, selon laquelle cet édulcorant serait dangereux pour la santé.
« Sur la base de toutes les preuves actuellement disponibles (...), il n'y a aucune indication que l'aspartame présente un risque en matière de génotoxicité ou de carcinogénicité et donc aucune raison de réviser la dose journalière admissible (...), à savoir 40mg/kg de poids corporel », conclut l'EFSA dans son dernier avis.
Rappelons toutefois que l'aspartame ne doit pas être consommé par les patients souffrant d'une maladie génétique rare, la phénylcétonurie. Ils sont en effet incapables de dégrader la phénylalanine, un acide aminé contenu dans cet édulcorant. Si vous êtes concerné, lisez bien les étiquettes de certains produits tels que les sodas. Notamment ceux estampillés « light ».

Journée d'ophtalmologie à la Clinique du Levant
 
La Clinique du Levant a organisé un congrès sur l'ophtalmologie placé sous le thème « Kératocônes : de A à Z ». Plus de 200 spécialistes du Liban et du monde arabe ont participé aux travaux de cette journée animée...

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