Le président de Marseille, Pape Diouf, dont le départ possible a été évoqué dans la presse à la suite de l'annonce de celui de l'entraîneur Éric Gerets mardi, a affirmé hier qu'il n'envisageait pas de quitter ses fonctions.
« Regardez-moi, je suis rayonnant, pourquoi voulez-vous que je parte ? Je suis là, et bien là, à la tête de mes troupes, à la recherche d'un titre que l'on n'a pas obtenu depuis 17 ans. C'est excitant, cette affaire ! » a déclaré Diouf devant la presse.
« Il est vrai qu'il peut arriver des moments où la tension, les enjeux, et en marge la mesquinerie des uns et la jalousie des autres, font que l'on peut se poser des questions. Ces questions-là, je me les pose cinq minutes. À la 6e minute, je remets le bleu de chauffe et je vais au combat », a poursuivi Diouf, dont le départ possible a été évoqué dans la presse, en raison de tensions présumées avec l'entourage de l'actionnaire Robert Louis-Dreyfus.
De fait, Diouf n'a pas épargné hier certains proches de « RLD », affirmant être l'objet d'une « campagne anti-Diouf », qui ne le « touche pas », et qui serait menée « par des gens assez insignifiants se réclamant d'une certaine légitimité légale ». Le président marseillais n'a cependant pas détaillé en quoi consistait cette « campagne » ni pourquoi il se sentait particulièrement visé.
Il aura peut-être l'occasion de le préciser lors d'une prochaine réunion avec l'actionnaire du club, qui pourrait avoir lieu aujourd'hui, que Diouf assure ne pas être une « convocation », mais une rencontre « programmée bien avant les évènements de ces derniers jours ».
« Un éclaircissement nécessaire »
Louis-Dreyfus qui aurait été surpris par l'annonce du départ de Gerets, un entraîneur qui pourrait offrir le premier titre de son « ère » entamée en 1997, a en tout cas annoncé mercredi qu'il attendait « un éclaircissement nécessaire en fin de saison » sur les raisons et les conditions ayant conduit au départ du technicien belge.
L'homme d'affaires ne désespérerait pas non plus de faire revenir Gerets sur sa décision, ce que celui-ci a néanmoins exclue dans La Provence mercredi.
Dans ce même entretien, l'entraîneur marseillais expliquait précisément sa décision par un différend avec « RLD » suite à un entretien de celui-ci mi-janvier à L'Équipe, interprété par Gerets comme un « manque de reconnaissance, de confiance surtout ».
Diouf a affirmé hier qu'il avait été « le premier » à dire « qu'il fallait impérativement qu'Éric Gerets » reste entraîneur de l'OM la saison prochaine. Il en a fait part le 23 mars à Zurich à « RLD » et ses conseillers. « L'actionnaire a compris parfaitement les raisons (de conserver Gerets) » et « m'a donné quitus », a indiqué Diouf.
Gerets a affirmé qu'il n'avait jamais reçu de proposition, ce qui l'a poussé à décider de son départ.
Diouf explique cependant qu'il a ensuite rencontré Gerets, « même si l'on peut rencontrer quelqu'un sans être d'accord sur-le-champ ou prendre une décision ».
« Puis nous nous sommes encore rencontrés une ou deux fois, et c'est là qu'il y a eu des discussions d'homme qui resteront entre nous », a ajouté Diouf, parlant aussi d'un « serment d'homme » et précisant que Gerets, qui a « peut-être trouvé que le délai était un peu trop long », avait « ses raisons » pour partir.
« Regardez-moi, je suis rayonnant, pourquoi voulez-vous que je parte ? Je suis là, et bien là, à la tête de mes troupes, à la recherche d'un titre que l'on n'a pas obtenu depuis 17 ans. C'est excitant, cette affaire ! » a déclaré Diouf devant la presse.
« Il est vrai qu'il peut arriver des moments où la tension, les enjeux, et en marge la mesquinerie des uns et la jalousie des autres, font que l'on peut se poser des questions. Ces questions-là, je me les pose cinq minutes. À la 6e minute, je remets le bleu de chauffe et je vais au combat », a poursuivi Diouf, dont le départ possible a été évoqué dans la presse, en raison de tensions présumées avec l'entourage de l'actionnaire Robert Louis-Dreyfus.
De fait, Diouf n'a pas épargné hier certains proches de « RLD », affirmant être l'objet d'une « campagne anti-Diouf », qui ne le « touche pas », et qui serait menée « par des gens assez insignifiants se réclamant d'une certaine légitimité légale ». Le président marseillais n'a cependant pas détaillé en quoi consistait cette « campagne » ni pourquoi il se sentait particulièrement visé.
Il aura peut-être l'occasion de le préciser lors d'une prochaine réunion avec l'actionnaire du club, qui pourrait avoir lieu aujourd'hui, que Diouf assure ne pas être une « convocation », mais une rencontre « programmée bien avant les évènements de ces derniers jours ».
« Un éclaircissement nécessaire »
Louis-Dreyfus qui aurait été surpris par l'annonce du départ de Gerets, un entraîneur qui pourrait offrir le premier titre de son « ère » entamée en 1997, a en tout cas annoncé mercredi qu'il attendait « un éclaircissement nécessaire en fin de saison » sur les raisons et les conditions ayant conduit au départ du technicien belge.
L'homme d'affaires ne désespérerait pas non plus de faire revenir Gerets sur sa décision, ce que celui-ci a néanmoins exclue dans La Provence mercredi.
Dans ce même entretien, l'entraîneur marseillais expliquait précisément sa décision par un différend avec « RLD » suite à un entretien de celui-ci mi-janvier à L'Équipe, interprété par Gerets comme un « manque de reconnaissance, de confiance surtout ».
Diouf a affirmé hier qu'il avait été « le premier » à dire « qu'il fallait impérativement qu'Éric Gerets » reste entraîneur de l'OM la saison prochaine. Il en a fait part le 23 mars à Zurich à « RLD » et ses conseillers. « L'actionnaire a compris parfaitement les raisons (de conserver Gerets) » et « m'a donné quitus », a indiqué Diouf.
Gerets a affirmé qu'il n'avait jamais reçu de proposition, ce qui l'a poussé à décider de son départ.
Diouf explique cependant qu'il a ensuite rencontré Gerets, « même si l'on peut rencontrer quelqu'un sans être d'accord sur-le-champ ou prendre une décision ».
« Puis nous nous sommes encore rencontrés une ou deux fois, et c'est là qu'il y a eu des discussions d'homme qui resteront entre nous », a ajouté Diouf, parlant aussi d'un « serment d'homme » et précisant que Gerets, qui a « peut-être trouvé que le délai était un peu trop long », avait « ses raisons » pour partir.
Le président de Marseille, Pape Diouf, dont le départ possible a été évoqué dans la presse à la suite de l'annonce de celui de l'entraîneur Éric Gerets mardi, a affirmé hier qu'il n'envisageait pas de quitter ses fonctions.« Regardez-moi, je suis rayonnant, pourquoi voulez-vous que je parte ? Je suis...
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