Le « gigolo suisse » renonce à faire appel
Le « gigolo suisse » condamné à six ans de prison il y a une semaine en Allemagne pour avoir fait chanter des femmes fortunées dont l'héritière BMW, purgera sa peine, la défense et l'accusation ayant renoncé à faire appel, a-t-on appris de source judiciaire. La défense de Helg Sgarbi, 44 ans, a renoncé à porter l'affaire en appel, a indiqué hier à l'AFP un porte-parole du parquet de Munich (Sud), citant une déclaration écrite du condamné évoquant ce souhait. L'accusation n'ayant pas non plus l'intention de faire appel, « la sentence est exécutoire à partir de mardi », a indiqué le porte-parole depuis Munich, où le tribunal avait rendu son verdict le 9 mars au terme d'un procès d'une journée. Helg Sgarbi, surnommé « le gigolo suisse » par la presse, avait plaidé coupable et reconnu d'emblée « l'essentiel » des faits qui lui étaient reprochés. Il a été condamné pour avoir extorqué 9,4 millions d'euros à quatre femmes riches rencontrées et séduites dans des hôtels de luxe. Le Suisse ne pourra bénéficier d'aucune réduction de peine car il n'a pas révélé où se trouvait son butin.
Demande de divorce d'Ingrid Betancourt d'avec Juan Carlos Lecompte
La Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, ex-otage des FARC, aurait introduit une demande en divorce d'avec son mari, le Colombien Juan Carlos Lecompte, « pour séparation de corps de fait », a affirmé dimanche la revue colombienne Semana. « Betancourt a introduit une demande en divorce contre Lecompte, faisant valoir une séparation de corps de fait pendant une période de plus de six ans, soit deux années de plus que celle prévue par la loi », afin de procéder à une telle démarche, a précisé la revue.
Les avocats de M. Lecompte ont cependant repoussé la demande en alléguant que « cette séparation n'a pas été volontaire, mais survenue à la suite d'un cas de force majeure ».
Les avocats de Juan Carlos Lecompte ont contre-attaqué afin que la personne demandant le divorce soit leur client qui pourrait présenter comme arguments les récentes révélations de trois des anciens compagnons de détention américains de son épouse.
Harper Collins, Marc Gonsalves, Tom Howes et Keith Stansell, des Américains otages des FARC pendant plus de cinq ans, ont publié au mois de février un récit relatant leurs relations souvent tendues avec leur ancienne compagne de détention. Ses compagnons de captivité avaient notamment fait état de son « égoïsme, de son orgueil et de son arrogance ».
Le « gigolo suisse » condamné à six ans de prison il y a une semaine en Allemagne pour avoir fait chanter des femmes fortunées dont l'héritière BMW, purgera sa peine, la défense et l'accusation ayant renoncé à faire appel, a-t-on appris de source judiciaire. La défense de Helg Sgarbi, 44 ans, a renoncé à porter l'affaire en appel, a indiqué hier à l'AFP un porte-parole du parquet de Munich (Sud), citant une déclaration écrite du condamné évoquant ce souhait. L'accusation n'ayant pas non plus l'intention de faire appel, « la sentence est exécutoire à partir de mardi », a indiqué le porte-parole depuis Munich, où le tribunal avait rendu son verdict le 9 mars au terme d'un procès d'une journée. Helg Sgarbi, surnommé « le gigolo suisse » par la presse, avait plaidé coupable et reconnu d'emblée « l'essentiel » des faits qui lui étaient reprochés. Il a été condamné pour avoir extorqué 9,4 millions d'euros à quatre femmes riches rencontrées et séduites dans des hôtels de luxe. Le Suisse ne pourra bénéficier d'aucune réduction de peine car il n'a pas révélé où se trouvait son butin.
Demande de divorce d'Ingrid Betancourt d'avec Juan Carlos Lecompte
La Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, ex-otage des FARC, aurait introduit une demande en divorce d'avec son mari, le Colombien Juan Carlos Lecompte, « pour séparation de corps de fait », a affirmé dimanche la revue colombienne Semana. « Betancourt a introduit une demande en divorce contre Lecompte, faisant valoir une séparation de corps de fait pendant une période de plus de six ans, soit deux années de plus que celle prévue par la loi », afin de procéder à une telle démarche, a précisé la revue.
Les avocats de M. Lecompte ont cependant repoussé la demande en alléguant que « cette séparation n'a pas été volontaire, mais survenue à la suite d'un cas de force majeure ».
Les avocats de Juan Carlos Lecompte ont contre-attaqué afin que la personne demandant le divorce soit leur client qui pourrait présenter comme arguments les récentes révélations de trois des anciens compagnons de détention américains de son épouse.
Harper Collins, Marc Gonsalves, Tom Howes et Keith Stansell, des Américains otages des FARC pendant plus de cinq ans, ont publié au mois de février un récit relatant leurs relations souvent tendues avec leur ancienne compagne de détention. Ses compagnons de captivité avaient notamment fait état de son « égoïsme, de son orgueil et de son arrogance ».
Le « gigolo suisse » renonce à faire appelLe « gigolo suisse » condamné à six ans de prison il y a une semaine en Allemagne pour avoir fait chanter des femmes fortunées dont l'héritière BMW, purgera sa peine, la défense et l'accusation ayant renoncé à faire appel, a-t-on appris de...
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