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Les lecteurs ont voix au chapitre

Lettre ouverte à nos députés Une question me tracasse?: les députés sont rémunérés généreusement pour quoi faire?? Nous vivons depuis un certain temps une vacance parlementaire et cela ne les a pas empêchés, que je sache, de continuer à être payés régulièrement pour un devoir non accompli. Mesdames et Messieurs les députés, nous nous sentons trahis par deux fois. Un peu de décence s’impose?! Refusez votre salaire et autres avantages tant que vous ne remplissez pas votre mission. Ces sommes considérables pourraient être utiles ailleurs, la pauvreté ambiante en a grand besoin. Dr Walid HAYEK Nada Sehnaoui, merci d’avoir osé Je salue ton génie, Nada, qui transparaît autant dans le concept de ton installation que dans le fait que tu aies osé la faire. Impressionnant ! Vue dans sa diagonale, elle rappelle tantôt l’alignement des pierres tombales de Normandie, tantôt les cercueils parfaitement alignés des Noces de sang à Cana. Douloureuse est notre réalité ! Merci Nada d’avoir osé nous imposer ces cuvettes comme «?les sièges du Parlement?» de la société civile. Quand j’ai découvert ton installation (L’Orient-Le Jour du 10 avril 2008), j’ai mis le cap sur ton website, question de «?faire ta connaissance?». J’ai été particulièrement touché par L’histoire d’une toile, ton trac, tes réflexions et hésitations devant «?la toile blanche?» jusqu’à ce que le concept te touche. J’ai envie de te dire : continue d’avoir le trac devant des «?toiles blanches?», devant des «?terrains vagues?» qui ne cessent d’être envahis par la sauvagerie de l’immobilier, pour y installer le beau, le vrai, le cruel et nous sortir en plein air avec nos cuvettes, siégeant sur nos cuvettes pour «?dialoguer?». Puisse ton installation avoir un impact sur nos cœurs et nos esprits. Bernard SADER Concepteur/graphiste
Lettre ouverte à nos députés

Une question me tracasse?: les députés sont rémunérés généreusement pour quoi faire??
Nous vivons depuis un certain temps une vacance parlementaire et cela ne les a pas empêchés, que je sache, de continuer à être payés régulièrement pour un devoir non accompli.
Mesdames et Messieurs les députés, nous nous sentons trahis par deux...