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Actualités

Atmosphère de cabaret

Sur un plan théâtral, totalement différent, à l’Irwin Hall, s’est donnée la pièce Raw, Cause I am a Woman, de Diana Son (Parce que je suis une femme ). Dans un espace scénique divisé en quatre plans, quatre femmes, en ombre chinoise, se partagent un même discours sur l’identité féminine. Griefs sentimentaux ou érotiques, besoin d’amour et non de domination, telles semblent les revendications de cette femme asiatique perdue entre les clichés de la soumission ou l’objet de plaisir. Propos audacieux qui fouillent en profondeur la nature de la femme et ne laissent rien à l’ombre, même pas la quête des amours d’un saphisme façon Gertrude Stein ou Violette Leduc… Dans une mise en scène plutôt fade et sans relief de Dalia Yassine, Parce que je suis une femme, œuvre courte avec ses quatre actrices (Dania Jarakji, Assil Ayache, Joy Telvezian et Rana Abi Abdallah) aux silhouettes pas toujours avantageuses et au ton monocorde, verse avec complaisance dans une atmosphère de cabaret au lumignon rouge et femmes en vitrines. Edgar DAVIDIAN
Sur un plan théâtral, totalement différent, à l’Irwin Hall, s’est donnée la pièce Raw, Cause I am a Woman, de Diana Son (Parce que je suis une femme ). Dans un espace scénique divisé en quatre plans, quatre femmes, en ombre chinoise, se partagent un même discours sur l’identité féminine. Griefs sentimentaux ou érotiques, besoin d’amour et non de domination, telles...