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Actualités - CHRONOLOGIE

Les cadavres d’animaux, les gravats et les détritus jalonnent le parcours Y a-t-il un responsable pour l’autoroute de Baabdate ?

Notre intention n’est en aucune façon de nous livrer à un quelconque harcèlement moral. Mais lorsque certains responsables s’obstinent à faire preuve de cécité civique, notre devoir de citoyen nous oblige à revenir à la charge. Dans notre édition de samedi dernier, nous avions mis en garde contre les dangers que constituent pour les automobilistes les carcasses de chiens ou chats morts, heurtés par les voitures, ainsi que les gravats et autres détritus qui jonchent la voie rapide reliant la route côtière du Metn à Baabdate et Broummana. Ces entraves sont d’autant plus dangereuses qu’elles s’accumulent à des virages à haut risque qui caractérisent la voie rapide en question. De nombreux accidents sont déjà signalés en situation normale sur cet axe routier, notamment au niveau des bretelles et de certains tournants un peu trop abrupts. Mais lorsque, de surcroît, des détritus, des gravas et des carcasses d’animaux augmentent sensiblement les risques de dérapage, la responsabilité des … « responsables » devient alors évidente. Est-ce trop demander qu’une voie rapide aussi vitale soit régulièrement nettoyée et entretenue afin de préserver la sécurité des automobilistes ? Et à cet égard, force est de s’interroger sur le partage de responsabilités dans cette négligence. Est-ce le ministère des Travaux publics et des Transports qui est en charge de l’entretien ou les municipalités de la région ? Pour l’heure, la question reste entière car les habitués de cet axe routier se demandent lorsqu’ils l’empruntent s’il existe réellement un responsable en charge de cette autoroute de Baabdate. Affaire à suivre. En espérant que les carcasses d’animaux et les gravas n’iront pas en augmentant jusqu’à ce que les responsables – quels qu’ils soient – daignent agir.
Notre intention n’est en aucune façon de nous livrer à un quelconque harcèlement moral. Mais lorsque certains responsables s’obstinent à faire preuve de cécité civique, notre devoir de citoyen nous oblige à revenir à la charge.
Dans notre édition de samedi dernier, nous avions mis en garde contre les dangers que constituent pour les automobilistes les carcasses de chiens...