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Focus Jim Carrey : Bas les « Mask »
le 02 août 2007 à 00h00
Le public a été habitué à ses facéties et à ses simagrées. C’est que Jim Carrey, comédien canadien, sorti tout droit de « Yuk Yuk Club » de Toronto (véritable temple de l’enseignement du comique), a toujours eu Jerry Lewis comme idéal. Le style qu’il adoptera dans ses films (personnage déjanté au rire décalé) évoquera toujours ce grand interprète du rire.
Grâce à The Mask, Carrey voit sa popularité grandir et, bientôt, les films s’enchaîneront : Ace Ventura, Tumb and Dumber, Liar, Liar... où l’acteur déploie une plasticité visuelle.
En recevant pour la seconde année successive le trophée du Golden Globe, Jim Carey, souvent méconnu ou boudé par ses pairs, s’était écrié ce jour-là : « Je suis le Tom Hanks des Golden Globes. » Il s’était attiré l’ire du Tout-Hollywood qui ne comprenait pas l’immense talent de cet acteur aux multiples facettes. C’est ce que Carrey entendait prouver en effectuant un virage à 180 degrés. Et il allait réussir.
En interprétant des caractères comme les personnages de Truman Show, Eternal Sunshine of the Spotless Mind et actuellement Le nombre 23, l’acteur aura montré le côté sombre de sa personnalité et fait tomber les masques.
Le public a été habitué à ses facéties et à ses simagrées. C’est que Jim Carrey, comédien canadien, sorti tout droit de « Yuk Yuk Club » de Toronto (véritable temple de l’enseignement du comique), a toujours eu Jerry Lewis comme idéal. Le style qu’il adoptera dans ses films (personnage déjanté au rire décalé) évoquera toujours ce grand interprète du rire....
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