Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIE

VIENT DE PARAÎTRE - L’auteur signera son livre ce soir, à 18h00, au Virgin Megastore, centre-ville « Cœur toujours tu m’intéresses » de Sally Tambourgi : le chagrin d’amour est universel...

C’est un petit livre rose sous sa jaquette noire. Tout un symbole ! Un premier livre d’une sincérité touchante, né tout simplement d’un chagrin d’amour, cette expérience douloureuse la mieux partagée au monde. Sally Tambourgi, 28 ans, est elle aussi passée par là. Une banale histoire de trahison que la jeune femme a voulu exorciser par l’écriture. Rédigé en quatre mois, « Cœur toujours tu m’intéresses » vient d’être édité par Ciel (un des principaux distributeurs de livres au Moyen-Orient, dont c’est là la première publication), qui le met en vente au Virgin Megastore, où une séance de signature par l’auteur est prévue ce soir, à partir de 18h00, au centre-ville. En dépit du titre, un peu ronflant, très « madame de Pompadour », il s’agit là d’un livre qui s’inscrit parfaitement dans l’air du temps. Un style très simple. Un ton dynamique et enlevé, qui s’adapte parfaitement à la narration d’une relation contemporaine. Mais aussi, une mise en page originale, entièrement élaborée par l’auteur elle-même. En effet, diplômée en publicité de l’ALBA, spécialisée en conception et rédaction et actuellement directrice artistique dans une agence publicitaire à Dubaï, Sally Tambourgi a également signé les illustrations, la maquette ainsi que la pagination inversée, choisie à dessein pour accompagner ce « compte à rebours » narratif. Un vieux cliché Un texte aux accents autobiographiques – « basé plutôt sur des émotions vraies », précise l’auteur avec pudeur – qui raconte la souffrance d’une rupture amoureuse, quasiment au jour le jour. Journal de bord consignant toutes les étapes, qui vont du choc au désamour, en passant par le déni, le désespoir, la déception, l’espoir, la dépression, la haine. Description quasi clinique d’un vécu personnel, et à la fois tellement universel. Car « un chagrin d’amour, c’est un des plus vieux clichés du monde. Ça fait mal, ça fait pleurer, ça empêche de manger, ça empêche de dormir. C’est commun un chagrin d’amour. Ça arrive à presque tout le monde, ça n’a rien d’exceptionnel », écrit, à juste titre, Sally Tambourgi. Et comme tout le monde, Léa, son héroïne, son double, va s’en remettre elle aussi, retirant de cette épreuve quasi initiatique une sagesse nouvelle et une vraie liberté. « Je sais que ce n’est plus qu’une question de temps avant que tu ne te dissolves. Avant que tu ne disparaisses complètement de ma vie pour n’être qu’un mauvais souvenir, une mauvaise rencontre, une malchance. » Et d’ajouter en conclusion : « J’ai fait le ménage dans ma vie. Je me suis éloignée des personnes qui ne m’apportent rien. » Un récit, sans aucune prétention littéraire, qui tire sa force du sentiment d’identification qu’il génère chez le lecteur. Sans doute plus chez la lectrice. Léa, en fin de compte, c’est Sally, c’est moi, c’est vous, chacun d’entre vous ! Dans des contextes certes différents, mais l’expérience est la même. En amour aussi rien n’est nouveau sous le soleil... Zéna ZALZAL



C’est un petit livre rose sous sa jaquette noire. Tout un symbole ! Un premier livre d’une sincérité touchante, né tout simplement d’un chagrin d’amour, cette expérience douloureuse la mieux partagée au monde. Sally Tambourgi, 28 ans, est elle aussi passée par là. Une banale histoire de trahison que la jeune femme a voulu exorciser par l’écriture. Rédigé en...