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DU MONDE ENTIER

L’obésité nuit au travail Selon une étude américaine, le nombre de journées de travail perdues par incapacité temporaire serait treize fois plus élevé chez les obèses que chez leurs collègues de poids normal. Un constat qui concernerait particulièrement les seniors. « Ces incapacités sont notamment dues à des blessures qui ont lieu sur le lieu de travail », souligne l’auteur, relevant de nombreuses maladies liées à l’obésité, particulièrement des troubles musculo-squelettiques (les TMS) à type de douleurs dorsales ou au niveau des poignets. En suivant près de 12 000 salariés pendant trois ans, l’auteur a montré que plus l’indice de masse corporel (l’IMC) était élevé, plus le nombre de journées de travail perdues augmentait. Sans surprise, un lien de même nature a été observé pour le coût des indemnités journalières. Ce sont les médecins qui manquent, pas les traitements ! Dans la revue spécialisée Plos Medicine, des experts internationaux lancent un appel aux responsables du Fonds mondial de lutte contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme. Leur objectif : financer la formation de professionnels de santé dans les pays en développement. Le Dr Gorik Ooms, de Médecins sans frontières, déplore ainsi qu’il « manque de médecins et d’infirmières pour prescrire les traitements ». « Les médicaments sont pourtant là, déplore-t-il. Ce serait donc une erreur stratégique de la part du Fonds mondial de ne pas considérer la question de la pénurie de professionnels. » Au Mozambique, à titre d’exemple, il faudrait huit professionnels de santé pour 1 000 patients pour répondre aux besoins de la population. Or aujourd’hui, la proportion n’est que de 0,36 pour 1 000. Quand l’apnée du sommeil frappe au cœur D’après une étude américaine, les victimes d’un syndrome d’apnée du sommeil (SAS) voient leur risque d’être atteintes d’un accident cardiaque augmenté de 30 % par rapport à la population générale. Notamment bien sûr, si leur SAS n’est pas traité. Il s’agit d’une maladie très fréquente et qui se traduit par la survenue, au cours du sommeil, de fermetures répétées des voies aériennes supérieures. Ainsi le patient ne respire plus durant quelques secondes. Il se trouve donc en apnée et doit se réveiller pour reprendre son souffle. Pas étonnant dans ces conditions que le SAS altère grandement la qualité du sommeil. Et celle de la vie au quotidien. Pas surprenant non plus, qu’elle constitue un facteur de risque cardio-vasculaire. Pourtant, le syndrome d’apnées du sommeil peut être efficacement traité. Grâce notamment à un appareil nasal à pression positive continue, la PPC. Utilisé pendant le sommeil, il délivre un flux d’air à pression constante, contribuant aussi bien à l’amélioration de la qualité de vie des malades que peut-être de leur survie. Sources : l’agence de presse Destination santé
L’obésité nuit au travail

Selon une étude américaine, le nombre de journées de travail perdues par incapacité temporaire serait treize fois plus élevé chez les obèses que chez leurs collègues de poids normal. Un constat qui concernerait particulièrement les seniors. « Ces incapacités sont notamment dues à des blessures qui ont lieu sur le lieu de travail »,...