Il est le plus «oriental» des couturiers libanais. Derrière cet adjectif se cache un style souvent près du corps, faisant la part belle aux voiles et aux sequins, aux broderies caractéristiques du folklore régional et à l’univers classique des contes des Mille et Une Nuits. Dans l’atelier de Mahfouz, la femme est une houri sortie sans équivoque du songe d’un prince...
Actualités - CHRONOLOGIE
RÉSOLUMENT ORIENTAL Le printemps de Abed Mahfouz
le 16 mars 2007 à 00h00
Il est le plus «oriental» des couturiers libanais. Derrière cet adjectif se cache un style souvent près du corps, faisant la part belle aux voiles et aux sequins, aux broderies caractéristiques du folklore régional et à l’univers classique des contes des Mille et Une Nuits. Dans l’atelier de Mahfouz, la femme est une houri sortie sans équivoque du songe d’un prince d’Arabie. Mousseline, peau d’ange, organza, tulle, jupes serrées terminées en queue de sirène, les robes longues hésitent entre le soir et la nuit, d’où un usage abondant du vocabulaire de la lingerie. Évasées façon abaya, ou fourreaux moulants ruisselants de paillettes, les robes de Mahfouz pour la belle saison attendent un casting hollywoodien dans un palais au cœur des sables.
Il est le plus «oriental» des couturiers libanais. Derrière cet adjectif se cache un style souvent près du corps, faisant la part belle aux voiles et aux sequins, aux broderies caractéristiques du folklore régional et à l’univers classique des contes des Mille et Une Nuits. Dans l’atelier de Mahfouz, la femme est une houri sortie sans équivoque du songe d’un prince...
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