Actualités
Le procureur général presse Katzav de plier bagage
le 01 février 2007 à 00h00
Le procureur général israélien, Menahem Mazouz, presse le président Moshe Katzav qu’il projette d’inculper pour viol de déménager de la résidence officielle de la présidence à Jérusalem, a-t-on indiqué de sources judiciaires. Moshe Katzav a été suspendu de ses fonctions à sa demande la semaine dernière tout en continuant à résider à la présidence. Ses fonctions, avant tout honorifiques, sont assurées temporairement par la présidente du Parlement, Dalia Yitzik, en attendant une décision définitive du procureur sur son éventuelle inculpation. Dans une lettre, Menahem Mazouz estime que la présence de Moshe Katzav à la résidence contrevient à la loi et qu’elle peut entraver le cours de la justice dans la mesure où une des employées qui a porté plainte contre le président continue à travailler à la présidence. En outre, plusieurs autres salariés de la présidence susceptibles de devenir des témoins à charge pourraient être influencés par le président déjà soupçonné de « menaces contre témoins » par le procureur général, a-t-on ajouté de mêmes sources. Le président, dont le mandat s’achève en juillet, est passible de 16 ans de prison s’il est reconnu coupable. Moshe Katzav a dit qu’il démissionnerait uniquement si le procureur général décidait de son inculpation à l’issue d’une audition, dont la date n’a pas encore été fixée.
Le procureur général israélien, Menahem Mazouz, presse le président Moshe Katzav qu’il projette d’inculper pour viol de déménager de la résidence officielle de la présidence à Jérusalem, a-t-on indiqué de sources judiciaires. Moshe Katzav a été suspendu de ses fonctions à sa demande la semaine dernière tout en continuant à résider à la présidence. Ses fonctions,...
Les plus commentés
Le Liban n'a pas besoin d'argent, mais d'une décision politique pour renvoyer les migrants syriens, tacle Bassil
Un milliard d'euros pour aider le Liban ou pour... « acheter son silence » ?
Le médecin britanno-palestinien Ghassan Abou Sitta, venu témoigner de la situation à Gaza, refoulé en France