Elle obtient le divorce pour usage
intempestif d’un désodorisant
Une Égyptienne a obtenu le divorce de son époux qui lui imposait l’usage intempestif d’un désodorisant d’intérieur à l’essence d’aloès, rapportait hier la presse. Le tribunal des affaires conjugales de Mahdi, une banlieue résidentielle du Caire, a accordé ce divorce à Souad qui a affirmé, certificats médicaux à l’appui, que ce désodorisant lui déclenchait une allergie aux bronches. « J’aime mon mari et ne souhaite pas le quitter, mais il ne veut pas arrêter d’utiliser ce désodorisant dont il dit que l’odeur lui est familière depuis sa petite enfance », a expliqué Souad aux juges. Le tribunal s’est finalement rangé à son argument d’autant que l’époux, un Soudanais prénommé Hussein, a refusé par trois fois de répondre à une convocation pour plaider son cas.
Il veut se séparer de sa femme
car... elle était un homme
Un Iranien a demandé le divorce en affirmant que sa femme était un homme ayant subi une opération de changement de sexe, a rapporté hier le quotidien Etemad. L’homme, identifié par son prénom, Farhad, a demandé le divorce après que sa femme eut demandé le versement de 40 millions de rials (4 300 dollars), comme convenu lors de leur mariage. « Après mon mariage avec Mina il y a quatre ans, j’ai découvert qu’elle avait subi une opération de changement de sexe et, qu’en réalité, elle s’appelait Houchang », a expliqué le mari. « Pendant quatre ans, j’ai essayé de m’habituer (...), mais lorsqu’elle a demandé le versement de son douaire, j’ai fait des recherches et je me suis rendu compte que notre mariage était illégal », a expliqué le mari en justifiant sa demande de divorce. La femme, quant à elle, a affirmé devant le juge qu’elle voulait toujours vivre avec son mari, mais demandait le versement de son douaire comme le prévoit la loi iranienne. En droit iranien, au moment du mariage, l’époux s’engage à verser une certaine somme d’argent à sa femme, qu’elle est censée touchée en cas de séparation, mais qu’elle peut réclamer auparavant. La loi iranienne autorise le changement de sexe sous certaines conditions même si la société accepte mal ce phénomène. Le fondateur de la République islamique, l’imam Khomeiny, avait ainsi autorisé par fatwa (décret) le changement de sexe pour raisons physiologiques.
Les plus commentés
Derrière la visite de Walid Boukhari à Meerab
Le Hamas accepte une proposition de cessez-le-feu qataro-égyptienne, Israël la juge "adoucie et inacceptable" : jour 213 de la guerre de Gaza
À Meis el-Jabal, « quatre innocents ont été tués » par une frappe israélienne