La place importante accordée par les organisateurs du Festival 2005 à Yan Fabre a fait polémique. En effet, pour cette édition 2005 du Festival In, la cour d’honneur du Palais des Papes n’accueillera pas de théâtre, au sens traditionnel. La programmation, élaborée en collaboration avec Yan Fabre, artiste associé de cette 59e édition, fait la part belle aux arts...
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Une édition 2005 contestée
Par GEMAYEL Aline, le 19 juillet 2005 à 00h00
La place importante accordée par les organisateurs du Festival 2005 à Yan Fabre a fait polémique. En effet, pour cette édition 2005 du Festival In, la cour d’honneur du Palais des Papes n’accueillera pas de théâtre, au sens traditionnel. La programmation, élaborée en collaboration avec Yan Fabre, artiste associé de cette 59e édition, fait la part belle aux arts contemporains, avec notamment des œuvres transversales mélangeant à profusion musique, danse, vidéo, cinéma et théâtre. Plus de la moitié de la cinquantaine de spectacles relèvent de ce mélange. Cependant, le théâtre dit traditionnel n’abdique pas ses droits pour autant. On peut ainsi voir à l’affiche du In Hamlet, de Shakespeare, mis en scène par Hubert Colas ; La mort de Danton, de Büchner, et La vie de Galilée, de Brecht, mis en scène par Jean-François Sivadier, ou les dix heures des Vainqueurs, d’Olivier Py.
Étant artiste associé, Yan Fabre est à ce titre au centre de nombreuses manifestations. Outre le théâtre avec plusieurs pièces, une rétrospective de son œuvre visuelle et plastique à la Maison Jean Vilar, For intérieur, retrace l’univers intérieur avec une soixantaine d’œuvres, sculptures, dessins, films et installations.
La place importante accordée par les organisateurs du Festival 2005 à Yan Fabre a fait polémique. En effet, pour cette édition 2005 du Festival In, la cour d’honneur du Palais des Papes n’accueillera pas de théâtre, au sens traditionnel. La programmation, élaborée en collaboration avec Yan Fabre, artiste associé de cette 59e édition, fait la part belle aux arts...
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