« Il est temps de parvenir à l’élaboration d’une loi réelle représentant la volonté d’une grande partie des Libanais sans la noyer...
Actualités - CHRONOLOGIE
Boueiz plaide en faveur de l’adoption du caza (photo)
le 21 décembre 2004 à 00h00
Le député Farès Boueiz a annoncé hier qu’il était en faveur « d’une seule loi électorale pour un seul Liban », plaidant en faveur d’un découpage électoral sur base de la plus petite circonscription, c’est-à-dire le caza.
« Il est temps de parvenir à l’élaboration d’une loi réelle représentant la volonté d’une grande partie des Libanais sans la noyer dans les grandes circonscriptions », a indiqué M. Boueiz, qui a été reçu hier à Bkerké par le patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir. Estimant que la petite circonscription favorise le contact entre l’électeur et l’élu, le député du Kesrouan a indiqué que « quelle que soit la clarté des textes, ce sont les intentions qui déterminent le découpage électoral ». M. Boueiz a par ailleurs évoqué la question du redéploiement syrien avec Mgr Sfeir. Il a souhaité que le dernier redéploiement soit « suivi d’autres mesures, ce qui pourra permettre aux Libanais de reprendre progressivement leurs affaires en main et d’exercer leurs responsabilités et leur décision, si jamais cet État a l’intention de le faire ».
Le patriarche maronite a également accordé audience à la commission patriarcale pour les affaires liturgiques, présidée par l’archevêque maronite de Chypre, Mgr Boutros Gemayel, puis au député de Jbeil, Abbas Hachem, qui a dénoncé les polémiques entre le pouvoir et l’opposition, et à M. Joseph Aboucharaf.
Le député Farès Boueiz a annoncé hier qu’il était en faveur « d’une seule loi électorale pour un seul Liban », plaidant en faveur d’un découpage électoral sur base de la plus petite circonscription, c’est-à-dire le caza.
« Il est temps de parvenir à l’élaboration d’une loi réelle représentant la volonté d’une grande partie des Libanais sans la noyer...
« Il est temps de parvenir à l’élaboration d’une loi réelle représentant la volonté d’une grande partie des Libanais sans la noyer...
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