Recevant le nouveau directoire de l’Université du Saint-Esprit, conduit par le recteur, le père Antoine Ahmar, le patriarche Sfeir s’est naturellement adressé hier aux jeunes. Pour les exhorter à garder la foi. En se persuadant que le Liban « est la plus chère des patries ». Qui doit rester la nation de la liberté. Aux générations montantes, avenir du pays, le prélat...
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Sfeir exhorte les jeunes à garder la foi et l’amour de la patrie
le 15 décembre 2004 à 00h00
Recevant le nouveau directoire de l’Université du Saint-Esprit, conduit par le recteur, le père Antoine Ahmar, le patriarche Sfeir s’est naturellement adressé hier aux jeunes. Pour les exhorter à garder la foi. En se persuadant que le Liban « est la plus chère des patries ». Qui doit rester la nation de la liberté. Aux générations montantes, avenir du pays, le prélat demande « de surmonter les épreuves, pour vivre ensemble ». Répondant à un mot de circonstance du recteur Ahmar, Mgr Sfeir a cité Le Cid de Corneille : « La valeur n’attend pas le nombre des années », pour souligner qu’à l’instar du directoire rénové de l’Université du Saint-Esprit, l’apport des jeunes peut, et doit, être marquant dans ce pays. Il les invite à bien étudier, mais surtout, répète-t-il, à ne se détacher ni de leur foi ni de leur patrie. Qui comporte nombre de communautés ayant toutes cherché initialement un abri clément et l’ayant trouvé au Liban. Grâce à sa vocation de coexistence autant que de savoir et de civilisation bien comprise. Le patriarche a conclu son allocution en soulignant le rôle essentiel des universités, source de pensée et de constante renaissance.
Par ailleurs, le patriarche Sfeir a reçu hier Wadih el-Khazen, qui a appelé à l’unité des rangs libanais. Puis l’ambassadeur de Tchéquie. Et enfin une délégation du Chouf.
Recevant le nouveau directoire de l’Université du Saint-Esprit, conduit par le recteur, le père Antoine Ahmar, le patriarche Sfeir s’est naturellement adressé hier aux jeunes. Pour les exhorter à garder la foi. En se persuadant que le Liban « est la plus chère des patries ». Qui doit rester la nation de la liberté. Aux générations montantes, avenir du pays, le prélat...
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