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Pour Farès Souhaid, l’heure est à l’union sacrée islamo-chrétienne

Farès Souhaid a affirmé, dans son mot, que le pays traverse une phase fondatrice. Comme en 1920, en 1943 ou en 1989. Il a souligné que sa participation ne découle pas uniquement de son évidente approbation du manifeste. Mais aussi, et surtout, de la démonstration que le Liban se tient debout, droit dans ses bottes, et refuse d’être tenu en laisse. « Et que nous sommes ici, sous nos différentes colorations, unis, solidaires, chrétiens et musulmans, au plus haut degré imaginable d’union nationale. C’est là le sens vrai de notre alliance. C’est là le sens même du Liban... » Il a fustigé ensuite les manigances des gens du pouvoir « qui s’embourbent dans la vase d’un passé stérile, perdent conscience à l’heure de vérité, s’obstinent à tenir tête à la légitimité populaire autant qu’à la légalité internationale, en s’en prenant à l’histoire ainsi qu’aux emblèmes d’honneur... », martelant que toutes ces dérives « ne nous concernent, ne nous affectent pas ». Car le front opposant « regarde vers l’avenir, les Libanais étant résolus à réaliser l’indépendance de toute tutelle extérieure ». Et qu’ils y sont capables, grâce à leur union, a-t-il ajouté. Souhaid a de nouveau chargé le pouvoir, pour l’amendement constitutionnel, pour vouloir juger la victime et pour la mise en place d’un gouvernement monochrome et pour défier la légalité internationale, ainsi que les amis de ce pays. Il s’est demandé si l’on cherche l’ukrainisation, concluant que la marche de l’indépendance, et vers l’État de droit, par l’union a commencé.
Farès Souhaid a affirmé, dans son mot, que le pays traverse une phase fondatrice. Comme en 1920, en 1943 ou en 1989. Il a souligné que sa participation ne découle pas uniquement de son évidente approbation du manifeste. Mais aussi, et surtout, de la démonstration que le Liban se tient debout, droit dans ses bottes, et refuse d’être tenu en laisse. « Et que nous sommes ici,...