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La France exige toujours un calendrier-programme du retrait syrien L’application de la résolution 1559 sous haute surveillance onusienne
le 08 octobre 2004 à 00h00
Les inquiétudes libanaises concernant la mise en place d’une commission onusienne de suivi qui sera chargée de l’application de la résolution 1559 se sont dissipées hier, le Conseil de sécurité – réuni pour examiner le premier rapport Annan autour de l’application de la 1559 – s’étant contenté de publier une déclaration présidentielle dans laquelle il réclame notamment des rapports réguliers du secrétaire général de l’Onu sur le sort réservé par le Liban et la Syrie à cette résolution. Le deuxième rapport Annan devra être soumis dans deux mois au Conseil de sécurité. Il sera suivi d’autres, trimestriels.
C’est donc à la surveillance directe du secrétaire général de l’Onu que le Liban sera soumis, à la demande expresse du Conseil de sécurité qui, tout en « confirmant son appui à l’indépendance politique du Liban », a pressé « toutes les parties, y compris la Syrie, de mettre en application toutes les dispositions de la 1559 ».
La France insiste toujours pour avoir un calendrier-programme du retrait syrien du Liban, selon le représentant de la France, Jean-Marc de la Sablière, qui n’a pas exclu une nouvelle résolution concernant le Liban, au cas où la 1559 ne serait pas appliquée.
Les inquiétudes libanaises concernant la mise en place d’une commission onusienne de suivi qui sera chargée de l’application de la résolution 1559 se sont dissipées hier, le Conseil de sécurité – réuni pour examiner le premier rapport Annan autour de l’application de la 1559 – s’étant contenté de publier une déclaration présidentielle dans laquelle il réclame...
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