Le ver est dans le fruit.
Puis, le fruit dans le ver.
Les jeunes sont « absolutely d’acc » : il faut que le Syrien décampe. Mais après ? Oui, après ? Combien de vers, très peu verlainiens, qui s’impatientent au bas du pommier. Pour ce qu’il en reste. Et pour Paris III ou Washington IV. Car ils espèrent une manne de donations. Pour couronner la libération.
La curée, passe encore. Ce n’est rien, comme rongeur, à côté de la mésentente chronique. Source de stupide, de suicidaire hostilité. Entre d’innombrables camps, confessionnalisés ou panachés. L’entente, que tout le monde chante, n’est jamais en pratique qu’un slogan creux.
Comme le pacte qui porte son nom, Taëf. Cette Arlésienne. Dans l’opéra éponyme, on en parle tout le temps. Sans jamais la voir, ou l’avoir, sur scène.
Tiens, des scènes, des scènes de ménage, une fois que le ménage sera fait, il va s’en multiplier sous la République des camarades. Et de la débandade.
J.I.
Le ver est dans le fruit.
Puis, le fruit dans le ver.
Les jeunes sont « absolutely d’acc » : il faut que le Syrien décampe. Mais après ? Oui, après ? Combien de vers, très peu verlainiens, qui s’impatientent au bas du pommier. Pour ce qu’il en reste. Et pour Paris III ou Washington IV. Car ils espèrent une manne de donations. Pour couronner la libération.
La curée,...
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