L’ambassadeur des États-Unis, Jeffrey Feltman, a pointé hier un doigt accusateur sur la corruption et la justice « inefficace » au Liban. Ces propos, tenus lors de la signature d’un accord privé en matière d’informatique, n’ont en apparence aucun lien avec ce qui se prépare à l’Onu au sujet du Liban et de la Syrie. En apparence.
Car Washington, en accord avec Paris, pourrait obtenir du Conseil de sécurité, qui se réunit ce soir pour examiner le rapport Annan, qu’il mette en place une commission de suivi chargée de l’application de la résolution 1559. Une telle mesure suscite l’inquiétude du tandem syro-libanais, qui y voit un accroissement des pressions occidentales. Beyrouth s’est efforcé d’y parer en adressant hier ses critiques sur le rapport.
L’ambassadeur des États-Unis, Jeffrey Feltman, a pointé hier un doigt accusateur sur la corruption et la justice « inefficace » au Liban. Ces propos, tenus lors de la signature d’un accord privé en matière d’informatique, n’ont en apparence aucun lien avec ce qui se prépare à l’Onu au sujet du Liban et de la Syrie. En apparence.
Car Washington, en accord avec Paris,...
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