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Actualités - CHRONOLOGIE

Diplomatie - Pour les Américains, le Liban est un pays « captif » qui doit être libéré Le bras de fer Damas-Washington se transpose aux Nations unies

Le bras de fer syro-américain, par Libanais interposés, va se transposer à New York, avec l’ouverture aujourd’hui de la session ordinaire de l’Assemblée générale de l’Onu. Sur place déjà, le ministre des AE, Jean Obeid, et le vice-président du Conseil des ministres, Issam Farès. Selon nos envoyés spéciaux à New York Khalil Fleyhane et Hoda Chédid, le sous-secrétaire américain aux AE, Kirean Brender Gast, doit rencontrer aujourd’hui M. Obeid. Pour sa part, M. Farès cherchera à obtenir audience du secrétaire général de l’Onu et même du président Bush, qui assiste ce soir à une réception donnée en l’honneur des chefs de délégation. Entre-temps, les États-Unis martèlent que le Liban est un pays « captif » qu’il faut délivrer, tandis que Washington et Paris font pression pour que le rapport sur la 1559 que Kofi Annan doit présenter le 3 octobre cite nommément la Syrie comme force étrangère devant se retirer du Liban.
Le bras de fer syro-américain, par Libanais interposés, va se transposer à New York, avec l’ouverture aujourd’hui de la session ordinaire de l’Assemblée générale de l’Onu. Sur place déjà, le ministre des AE, Jean Obeid, et le vice-président du Conseil des ministres, Issam Farès. Selon nos envoyés spéciaux à New York Khalil Fleyhane et Hoda Chédid, le...