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HOMMAGE Georges Bassil, l’humanisme du don

À toi Georges, ces quelques mots Au détour d’une fontaine près de la maison, dans chaque fleur, dans les lavandes de Feytroun, dans le cerisier du jardin, dans le doux son des cloches dans la montagne… Dans tout cela tu demeures. De nombreuses années durant, nous nous taquinions à qui prolongera l’été en montagne, tu aimais tant les hauts sommets. À travers nos discussions, j’ai appris de toi une leçon magistrale, un exemple d’humanisme, celui de ne jamais juger, celui de trouver dans les ronces le bourgeon qui va éclore. Au crépuscule de ta vie, il y a quelques semaines encore, tu continuais de donner en veillant notre chère Lucette comme la prunelle de tes yeux. Et quand l’heure est venue pour toi de nous quitter, tu as offert cette même prunelle qui a rendu la vue à une fillette qui ne voyait pas, à une fillette que tu ne connaissais pas. De ta vie nous aurons tous les jours quelque chose à apprendre. Je te dirai « Salut ! À un de ces jours », pour moi c’est tellement plus facile. Neyla Hassoun CHIDIAC
À toi Georges, ces quelques mots
Au détour d’une fontaine près de la maison, dans chaque fleur, dans les lavandes de Feytroun, dans le cerisier du jardin, dans le doux son des cloches dans la montagne…
Dans tout cela tu demeures.
De nombreuses années durant, nous nous taquinions à qui prolongera l’été en montagne, tu aimais tant les hauts sommets.
À travers nos...