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Actualités - CHRONOLOGIE

Un sénateur français demande à Damas des gestes « concrets » au Liban

La France souhaite un « déblocage » de la situation au Liban, après l’adoption de la résolution 1559 du Conseil de sécurité de l’Onu pour le respect de la constitution libanaise « sans interférence étrangère », a indiqué hier à Damas le président du groupe d’amitié France-Syrie au Sénat français. « La gestion du Liban ne correspond pas à nos espoirs. Les réformes ne se font pas et le pays risque de redevenir une poudrière sociale », en raison de la situation politique bloquée, a déclaré à l’AFP le sénateur Philippe Marini, en visite en Syrie. « Sans la France, il n’y aurait pas eu de Paris II », a-t-il dit. « La Syrie peut exercer son influence pour débloquer les choses (et) d’ici au 3 octobre il serait souhaitable que des actes concrets soient faits pour que la situation au Liban se débloque », a ajouté le sénateur français. Le Conseil de sécurité a demandé au secrétaire général de l’Onu, Kofi Annan, de lui adresser un rapport avant le 3 octobre sur la mise en application de la résolution 1559. M. Marini, qui a notamment rencontré le président syrien Bachar el-Assad, a toutefois fait le constat d’une « bonne volonté » lors de ses entretiens à Damas.
La France souhaite un « déblocage » de la situation au Liban, après l’adoption de la résolution 1559 du Conseil de sécurité de l’Onu pour le respect de la constitution libanaise « sans interférence étrangère », a indiqué hier à Damas le président du groupe d’amitié France-Syrie au Sénat français. « La gestion du Liban ne correspond pas à nos espoirs. Les...