Le président de la commission parlementaire des AE, Ali el-Khalil, estime qu’avec un gouvernement démissionnaire, le Liban ne saurait participer de façon crédible aux travaux de la session ordinaire de l’Assemblée générale de l’Onu, qui s’ouvre le 23 septembre à New York.
Selon le parlementaire, « il est nécessaire, à cette étape, et dans l’intérêt supérieur du Liban, que le Premier ministre ajourne au mois d’octobre la démission de son gouvernement ».
M. Hariri, rappelle-t-on, avait fixé au 20 septembre la date de la dernière réunion du gouvernement actuel.
M. el-Khalil pense que le gouvernement en place devrait rester pour le moins jusqu’au 2 octobre, date à laquelle le secrétaire général de l’Onu doit remettre son rapport sur le respect de la 1559 réclamant implicitement le retrait de l’armée syrienne du Liban.
Le président de la commission parlementaire des AE, Ali el-Khalil, estime qu’avec un gouvernement démissionnaire, le Liban ne saurait participer de façon crédible aux travaux de la session ordinaire de l’Assemblée générale de l’Onu, qui s’ouvre le 23 septembre à New York.
Selon le parlementaire, « il est nécessaire, à cette étape, et dans l’intérêt supérieur...
Selon le parlementaire, « il est nécessaire, à cette étape, et dans l’intérêt supérieur...
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