L’une des multiples sources de tension entre Damas et Washington concerne la frontière irakienne, au travers de laquelle passeraient, selon les États-Unis, de nombreux candidats à la guérilla anti-US. À l’issue de sa visite à Damas et au Caire, le secrétaire d’État adjoint pour le Proche-Orient, William Burns, a néanmoins annoncé que les deux parties examinaient la création de mécanismes de dialogue pour renforcer la sécurité à la frontière irakienne. Parallèlement, le week-end a été marqué par de terribles violences en Irak, notamment à Bagdad, où de violents combats de rue ont eu lieu, et Ramadi. Dimanche soir, les derniers bilans faisaient état de quarante-cinq tués, dont trois soldats polonais. Un ultimatum, dont la crédibilité n’a pas été avérée, a en outre été adressé à Rome : le retrait de ses troupes sous 24 heures ou la mort des deux humanitaires enlevées la semaine dernière.
L’une des multiples sources de tension entre Damas et Washington concerne la frontière irakienne, au travers de laquelle passeraient, selon les États-Unis, de nombreux candidats à la guérilla anti-US. À l’issue de sa visite à Damas et au Caire, le secrétaire d’État adjoint pour le Proche-Orient, William Burns, a néanmoins annoncé que les deux parties examinaient la...
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