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Actualités - OPINION

Fléchettes La tangente

Raymond Eddé, place de l’Étoile jadis, c’était quelque chose ! C’était quelqu’un. Quand un des roquets du Nahj, ces affidés du Deuxième bureau, aboyait à ses basques, il se tournait vers les tribunes. Et lançait au commissaire-mouchard de la Sûreté qui prenait des notes : « Marquez-lui un bon point ! » Aujourd’hui, on devrait en attribuer à beaucoup (trop) de gens. Avec une mention toute spéciale pour certains prétendants au trône qui, la mort dans l’âme, se sont faits, par fonction, les défenseurs les plus zélés du diktat amendeur. Mais qui, en douce, commencent à s’amender. Car ils se demandent, par fonction aussi, s’il est bien raisonnable de défier les grandes puissances. Ils laissent ainsi filer des analyses pessimistes, démoralisantes pour leurs copains loyalistes. Montrant, ou démontrant, que contrer la 1559 relève de la mission impossible. Holà, Machiavel, attention. Dans les travées, en partie grâce à vous d’ailleurs, veille toujours le bon servant rapporteur du maître. Impassible. Toréador prends garde, un œil noir te regarde... J. I.
Raymond Eddé, place de l’Étoile jadis, c’était quelque chose ! C’était quelqu’un. Quand un des roquets du Nahj, ces affidés du Deuxième bureau, aboyait à ses basques, il se tournait vers les tribunes. Et lançait au commissaire-mouchard de la Sûreté qui prenait des notes : « Marquez-lui un bon point ! »
Aujourd’hui, on devrait en attribuer à beaucoup (trop) de...