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Le cri de Sfeir est une mise en garde, pas un défi, selon de Freige

Le député de Beyrouth, Nabil de Freige, a estimé qu’il ne fallait pas considérer la position antireconductionniste du patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir, comme un défi, mais comme « un cri, une mise en garde contre ce qui pourrait se produire ». « Il faut que ce cri soit pris en considération avec le plus grand sérieux », a indiqué M. de Freige. Dans un entretien accordé à l’agence al-Markaziya, le député de Beyrouth a estimé qu’« il n’y a pas de palliatif au dialogue direct entre Damas et Bkerké », et que « si le climat avait été propice à un tel dialogue, nous n’en serions pas arrivés à l’ambiance tendue qui prévaut actuellement ». « Le Liban est un pays de dialogue, et sa Constitution est fondée sur le dialogue et la convivialité », a-t-il indiqué. M. de Freige a par ailleurs rappelé l’initiative du Rassemblement de Kornet Chehwane de visiter Baabda au cours des années précédentes. « Pourquoi le dialogue n’a-t-il pas abouti ? On a considéré que le président est le parrain du dialogue dans le pays, et qu’il devait mettre tout son poids dans la balance pour que ce dialogue direct ait lieu. Mais il ne l’a pas fait et n’a pas assuré le climat de dialogue », a-t-il ajouté.
Le député de Beyrouth, Nabil de Freige, a estimé qu’il ne fallait pas considérer la position antireconductionniste du patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir, comme un défi, mais comme « un cri, une mise en garde contre ce qui pourrait se produire ». « Il faut que ce cri soit pris en considération avec le plus grand sérieux », a indiqué M. de Freige. Dans un entretien...