La situation était complètement bloquée hier à Najaf, 18 jours après l’ouverture des hostilités dans la ville sainte chiite. Les miliciens de l’armée de Moqtada Sadr contrôlaient toujours le mausolée d’Ali, alors que l’aviation américaine bombardait le cimetière de la ville, l’une des places fortes du leader radical chiite. Ses représentants ont d’ailleurs...
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Toujours pas de nouvelles des trois journalistes occidentaux enlevés Impasse totale à Najaf : les miliciens de Sadr contrôlent toujours le mausolée d’Ali (photo)
le 24 août 2004 à 00h00
La situation était complètement bloquée hier à Najaf, 18 jours après l’ouverture des hostilités dans la ville sainte chiite. Les miliciens de l’armée de Moqtada Sadr contrôlaient toujours le mausolée d’Ali, alors que l’aviation américaine bombardait le cimetière de la ville, l’une des places fortes du leader radical chiite. Ses représentants ont d’ailleurs accusé les avions américains d’avoir endommagé le mur occidental du mausolée. Une information démentie par les autorités militaires américaines. De sérieux dégâts à l’enceinte du mausolée risqueraient de provoquer l’indignation de millions de chiites, compte tenu de l’importance du sanctuaire.
Parallèlement, on était toujours sans nouvelles hier de trois journalistes, deux Français et un Italien. Sur le dossier des sévices infligés aux détenus irakiens à la prison d’Abou Ghraïb, le meneur présumé du groupe de soldats américains mis en cause a été entendu hier en Allemagne par un juge militaire. Sur l’une des photos des sévices diffusées par les médias, le caporal Charles Graner posait près d’une pile de prisonniers nus.
La situation était complètement bloquée hier à Najaf, 18 jours après l’ouverture des hostilités dans la ville sainte chiite. Les miliciens de l’armée de Moqtada Sadr contrôlaient toujours le mausolée d’Ali, alors que l’aviation américaine bombardait le cimetière de la ville, l’une des places fortes du leader radical chiite. Ses représentants ont d’ailleurs...
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