Cette année aussi, récidive d’un succès fracassant pour Kazem es-Saher à Beiteddine. C’était le bonheur à l’état pur sous le firmament du Chouf, à l’ombre des arcades du palais des Eaux, pour deux concerts uniquement. Bondés étaient les gradins, mais aussi les cafés voisins pris d’assaut bien avant le spectacle. Près de trois heures, sans interruption, de poèmes en chansons ont fait chavirer le cœur de ces dames dont le chanteur est la coqueluche déclarée. Mots d’amour, poésies ardentes, rythmes d’une torride orientalité. Toute la magie de la musique arabe d’un interprète de charme qui ne lésine pas sur les moyens de séduction. Les autographes ont été volés à l’arraché entre deux chansons. Et puis, quelques pas de dabké ont diffusé une atmosphère de soirs de village heureux où la convivialité est de rigueur.
(Photos Michel Sayegh et Wissam Moussa).
Cette année aussi, récidive d’un succès fracassant pour Kazem es-Saher à Beiteddine. C’était le bonheur à l’état pur sous le firmament du Chouf, à l’ombre des arcades du palais des Eaux, pour deux concerts uniquement. Bondés étaient les gradins, mais aussi les cafés voisins pris d’assaut bien avant le spectacle. Près de trois heures, sans interruption, de poèmes...
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