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Pas d’unanimité nationale en faveur d’un amendement constitutionnel, affirme de Freige

Le député de Beyrouth, Nabil de Freige, a indiqué hier que la Syrie « n’avait pas encore fixé sa position définitive concernant l’échéance présidentielle », et que « rien ne sera décidé avant septembre ». « Je suis sûr de ce que je suis en train de dire », a-t-il affirmé, estimant qu’il était erroné de penser qu’une décision avait déjà été prise dans un sens ou dans l’autre. Dans un entretien accordé à la LBCI, M. de Freige a estimé qu’« il n’y a pas d’unanimité nationale sur la question de l’amendement constitutionnel », unanimité nécessaire pour que l’amendement ait lieu. « Pourquoi chercher davantage de divisions au plan national ? » s’est-il demandé. Le député a précisé qu’il était hostile, pour sa part, à « tout amendement qui serait effectué dans l’intérêt d’une personne » parce que cela « n’est pas sain ». « La plus grande erreur du Premier ministre Rafic Hariri a été de jeter tout son poids dans la balance pour amender la Constitution en faveur du mandat Hraoui en 1995 », a-t-il ajouté.
Le député de Beyrouth, Nabil de Freige, a indiqué hier que la Syrie « n’avait pas encore fixé sa position définitive concernant l’échéance présidentielle », et que « rien ne sera décidé avant septembre ». « Je suis sûr de ce que je suis en train de dire », a-t-il affirmé, estimant qu’il était erroné de penser qu’une décision avait déjà été prise dans un...