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« Pas de véritable résistance sans un État maître de ses décisions », estime le MRK

Le Mouvement réformiste kataëb (MRK) a estimé hier qu’il n’y aurait de véritable résistance à Israël et ses projets que dans le cadre d’un État libanais maître de ses décisions et qui aura rétabli sa souveraineté sur l’ensemble de son territoire. Réuni hier sous la présidence de l’ancien chef d’État Amine Gemayel, le MRK a indiqué que « si l’échéance présidentielle ne peut être une opportunité de susciter un débat autour de toutes les questions, cela signifie que le Liban est encore un front ». Évoquant les derniers affrontements entre Israël et le Hezbollah, le MRK s’est demandé « jusqu’à quand les responsabilités sur le plan sécuritaire allaient continuer à être diffuses et éparses, au moment où les références et les repères politiques se sont égarés entre Baabda, la banlieue sud, Damas et Téhéran ».« Jusqu’à quand l’État va-t-il continuer à être un projet sans cesse reporté ? Le pays peut-il contenir à la fois l’État et la résistance ? Surtout depuis que cette dernière est devenue un partenaire envahissant de l’État dans ses plus grands rôles, voire même son palliatif quelquefois ? » s’est-il demandé, en appelant les parties concernées à mettre un terme à la dégénérescence du pays à tous les niveaux.
Le Mouvement réformiste kataëb (MRK) a estimé hier qu’il n’y aurait de véritable résistance à Israël et ses projets que dans le cadre d’un État libanais maître de ses décisions et qui aura rétabli sa souveraineté sur l’ensemble de son territoire.
Réuni hier sous la présidence de l’ancien chef d’État Amine Gemayel, le MRK a indiqué que « si l’échéance...