L’Onu a mis en garde hier, par le biais du représentant personnel de Kofi Annan au Liban-Sud, Staffan di Mistura, contre les risques d’escalade au lendemain des affrontements à la frontière entre le Hezbollah et Israël. L’Onu, à laquelle le Quai d’Orsay a joint sa voix, a appelé les deux parties à la retenue. La France a également condamné la reprise des violences à...
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Liban-Sud - Calme précaire à la frontière Appels du Quai d’Orsay et de l’Onu à la retenue
le 22 juillet 2004 à 00h00
L’Onu a mis en garde hier, par le biais du représentant personnel de Kofi Annan au Liban-Sud, Staffan di Mistura, contre les risques d’escalade au lendemain des affrontements à la frontière entre le Hezbollah et Israël. L’Onu, à laquelle le Quai d’Orsay a joint sa voix, a appelé les deux parties à la retenue. La France a également condamné la reprise des violences à la frontière sud.
Sur le terrain, le calme a prévalu hier, ponctué de survols de l’aviation israélienne au-dessus de Chébaa et de Bint Jbeil, et de quelques tirs d’obus israéliens, mais la tension demeurait nettement perceptible sur le terrain.
L’Onu a mis en garde hier, par le biais du représentant personnel de Kofi Annan au Liban-Sud, Staffan di Mistura, contre les risques d’escalade au lendemain des affrontements à la frontière entre le Hezbollah et Israël. L’Onu, à laquelle le Quai d’Orsay a joint sa voix, a appelé les deux parties à la retenue. La France a également condamné la reprise des violences à...
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