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Opposition Le PNL condamne « la volonté de pousser les Libanais à jeter l’éponge »

Le Parti national libéral (PNL), réuni hier sous la présidence de M. Dory Chamoun, a estimé que « la baisse des querelles et des polémiques entre les pôles du pouvoir, du fait de l’intervention du tuteur syrien », constitue « une nouvelle étape du complot qui se poursuit depuis les années 90 ». Selon le PNL, cette baisse des querelles intervient à la suite d’une « phase de réévaluation du poids et de l’envergure politique de chacun, organisé par le maestro syrien en marge des municipales, avant les derniers préparatifs pour l’échéance présidentielle ». « Il s’agit d’une phase du complot ourdi depuis les années 90, et qui a abouti à la légitimation des ingérences syriennes dans les affaires internes et à une tentative de consacrer la satellisation du pays, dans le cadre des crises économique, financière et sociale. Des crises à travers lesquelles on cherche à briser la capacité des Libanais à résister à l’état de fait », a-t-il indiqué. Pour le PNL, il existe une volonté de « pousser les Libanais à se résigner à cet état de fait sous le couvert de slogans faux et creux, qui cherchent à falsifier la réalité ». « En échange, nous appelons les Libanais à réagir pour faire échec à ce complot et à faire particulièrement attention aux tensions que pourraient créer les comploteurs ainsi qu’aux fausses accusations et aux menaces qu’ils pourraient lancer pour garantir son succès. Nous les appelons aussi à faire face à la conspiration en restant fermement attachés aux constantes nationales, notamment aux principes démocratiques, qui supposent le respect de la Constitution et de l’alternance du pouvoir, et à la consécration de la convivialité et de l’entente à travers la réalisation de la réconciliation nationale réelle qui permettra au Liban de recouvrer sa souveraineté, son indépendance et sa libre décision (...) », a indiqué le communiqué. Le PNL a également déploré la crise de l’électricité, et les atermoiements du pouvoir à régler le dossier des déplacés.
Le Parti national libéral (PNL), réuni hier sous la présidence de M. Dory Chamoun, a estimé que « la baisse des querelles et des polémiques entre les pôles du pouvoir, du fait de l’intervention du tuteur syrien », constitue « une nouvelle étape du complot qui se poursuit depuis les années 90 ».
Selon le PNL, cette baisse des querelles intervient à la suite d’une «...