Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIE

Causerie-débat - Le chef du PSP invité à la NDU Joumblatt : Hariri n’est pas en position de faiblesse

Le chef du PSP, Walid Joumblatt, a affirmé que c’est le désordre qui règne en maître dès qu’il s’agit de la gestion politique du dossier économique au Liban, soulignant que Rafic Hariri n’est pas en position de faiblesse et précisant une nouvelle fois que le Premier ministre « n’est pas le seul à devoir assumer le poids de la dette publique ». Le député du Chouf a également insisté sur le fait que la présence syrienne « n’est pas une occupation », assurant qu’il avait « tourné une page », qu’il est « l’allié » de Damas et qu’« entre la mer, Israël et la Syrie, je choisis la Syrie ». Walid Joumblatt était hier au centre d’une causerie-débat organisée par le club phénicien de l’Université Notre-Dame de Louayzé (NDU), en présence, entre autres, du député Nabil Boustany et du recteur de l’université, le père Boutros Torbey. La première question posée à Walid Joumblatt a porté sur l’unité nationale. « Dans un pays où les courants idéologiques et politiques sont particulièrement pluriels, il existe des dénominateurs communs : l’unité du pays, l’appartenance, l’ennemi israélien et la protection de la Résistance. Et un jour viendra où l’on aura un livre d’histoire unifié, commun, objectif quant à sa version des événements que le Liban a connus ; un jour où l’unité nationale se concrétisera dans le domaine économique. D’autant que cette unité ne se réalisera que grâce à un développement équilibré, une complémentarité économique » et grâce à une même définition des relations extérieures, notamment libano-syriennes, a répondu le chef du PSP. Interrogé sur l’Irak, Walid Joumblatt a enfin estimé que « tout ce qui se fait (dans ce pays) en dehors des opérations contre l’occupation américaine est suspect », soulignant que les Kurdes « ont le droit de prétendre à une certaine indépendance au sein d’une unité nationale de l’Irak ».
Le chef du PSP, Walid Joumblatt, a affirmé que c’est le désordre qui règne en maître dès qu’il s’agit de la gestion politique du dossier économique au Liban, soulignant que Rafic Hariri n’est pas en position de faiblesse et précisant une nouvelle fois que le Premier ministre « n’est pas le seul à devoir assumer le poids de la dette publique ». Le député du Chouf a...