visas
Trois employés du consulat de France
écroués pour une falsification
le 14 février 2004 à 00h00
Trois employés libanais de l’ambassade de France à Beyrouth ont été écroués dans le cadre d’une enquête sur des falsifications de documents pour des demandes de visas. Les trois employés, dont l’identité n’a pas été révélée, sont accusés d’avoir aidé à falsifier des documents pour faciliter l’obtention de visas contre rémunération.
Un quatrième employé, garde de sécurité de l’ambassade, interrogé par le juge d’instruction Hatem Madi il y a quatre jours, en même temps que ses trois collègues, a été relâché sous coution d’élection de domicile. L’ambassade s’est refusée à tout commentaire.
Depuis l’entrée en vigueur de la convention Schengen en mars 1995, les conditions d’obtention de visas sont devenues très strictes.
Trois employés libanais de l’ambassade de France à Beyrouth ont été écroués dans le cadre d’une enquête sur des falsifications de documents pour des demandes de visas. Les trois employés, dont l’identité n’a pas été révélée, sont accusés d’avoir aidé à falsifier des documents pour faciliter l’obtention de visas contre rémunération.
Un quatrième employé, garde de sécurité de l’ambassade, interrogé par le juge d’instruction Hatem Madi il y a quatre jours, en même temps que ses trois collègues, a été relâché sous coution d’élection de domicile. L’ambassade s’est refusée à tout commentaire.
Depuis l’entrée en vigueur de la convention Schengen en mars 1995, les conditions d’obtention de visas sont devenues très strictes.
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