Depuis l’élection de George W. Bush, l’attribution du prix Nobel de la paix est devenue l’occasion annuelle, tant pour les lauréats que pour des membres du comité, d’égratigner la politique étrangère américaine, comme l’illustrent une fois encore les propos tenus hier par Shirin Ebadi, lauréate de la prestigieuse récompense pour 2003.
L’avocate iranienne s’est, entre autre, érigée contre les États qui « ont violé les principes universels et les droits de l’homme en utilisant les événements du 11 septembre et la guerre contre le terrorisme international comme prétextes », dans une allusion à peine voilée aux USA.
Le prix Nobel de la paix serait-il devenu le forum annuel des anti-Bush ?
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L’avocate iranienne s’est, entre autre, érigée contre les États qui « ont violé les principes universels et les droits de l’homme en utilisant les événements du 11 septembre et la guerre contre le terrorisme international comme prétextes », dans une allusion à peine voilée aux USA.
Le prix Nobel de la paix serait-il devenu le forum annuel des anti-Bush ?
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Depuis l’élection de George W. Bush, l’attribution du prix Nobel de la paix est devenue l’occasion annuelle, tant pour les lauréats que pour des membres du comité, d’égratigner la politique étrangère américaine, comme l’illustrent une fois encore les propos tenus hier par Shirin Ebadi, lauréate de la prestigieuse récompense pour 2003.L’avocate iranienne s’est,...
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