Il a estimé que « le Liban est peut-être le pays arabe le plus apte à éloigner de lui le spectre de l’implantation, en raison de l’importance de l’opposition à ce projet, des éléments de force que représentent la résistance et le partenariat avec la Syrie et du refus des Palestiniens installés dans le pays de toute tentative d’implantation ».
M. Berry, qui a également communiqué aux parlementaires les résultats de sa récente visite au Soudan, s’est arrêté sur la crise de l’Université libanaise, affirmant que la Chambre n’a pas jusqu’à présent reçu une demande d’ouverture d’un crédit, prélevé des réserves du budget, et destiné à la mutuelle des professeurs de l’UL. « Si on me demandait de participer à une manifestation organisée par les enseignants, j’accepterai », a-t-il dit, affirmant qu’il est impossible de se taire « alors que les lois de l’UL sont bafouées, après avoir lutté pour que cet établissement se remette sur pied et gagne son autonomie ».
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