Dans un coup médiatique inattendu, et à la surprise générale, y compris de ses propres troupes, le président US George W. Bush est venu hier à Bagdad dans le plus grand secret, sept mois après avoir déclaré la fin des combats au lendemain de la chute de son ennemi, Saddam Hussein.
Ni défilé, ni tapis rouge, ni discours public, ni rencontre avec une population irakienne dont il avait annoncé la libération. M. Bush n’a pas reçu l’accueil habituellement réservé au libérateur. Il est arrivé de nuit, à bord d’un appareil tous feux éteints, pour éviter toute velléité agressive de la part des résistants irakiens.
Le président US, qui ne cesse de répéter que la situation sécuritaire en Irak « s’améliore », est resté cantonné deux petites heures à l’aéroport, où il a partagé le dîner du Thanksgiving avec les militaires.
Ni défilé, ni tapis rouge, ni discours public, ni rencontre avec une population irakienne dont il avait annoncé la libération. M. Bush n’a pas reçu l’accueil habituellement réservé au libérateur. Il est arrivé de nuit, à bord d’un appareil tous feux éteints, pour éviter toute velléité agressive de la part des résistants irakiens.
Le président US, qui ne cesse de répéter que la situation sécuritaire en Irak « s’améliore », est resté cantonné deux petites heures à l’aéroport, où il a partagé le dîner du Thanksgiving avec les militaires.
Dans un coup médiatique inattendu, et à la surprise générale, y compris de ses propres troupes, le président US George W. Bush est venu hier à Bagdad dans le plus grand secret, sept mois après avoir déclaré la fin des combats au lendemain de la chute de son ennemi, Saddam Hussein.Ni défilé, ni tapis rouge, ni discours public, ni rencontre avec une population irakienne dont...
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