Près de cent personnes ont manifesté hier à Qobeyate, dans le caza du Akkar, pour réclamer la libération de Georges Ibrahim Abdallah, condamné en France à la réclusion criminelle à perpétuité.
Des amis et des proches se sont réunis dans l’église de l’Immaculée Conception de Qobeyate (village d’origine du prisonnier) en solidarité avec Abdallah, détenu en France depuis 1984 et dont un ordre de remise en liberté conditionnelle a été suspendu jeudi à la suite d’un appel du parquet.
Aujourd’hui âgé de 52 ans, Georges Ibrahim Abdallah avait été condamné à la perpétuité en 1987 pour sa complicité dans l’assassinat de deux diplomates en 1982 à Paris, l’Américain Charles Robert Ray et l’Israélien Yacov Barsimantov, et pour complicité de tentative d’assassinat du consul américain à Strasbourg, Robert Onan Homme, en 1984.
« Nous vous exhortons à intervenir auprès des autorités françaises pour obtenir la libération du fils de Qobeyate, Georges Abdallah », ont écrit les manifestants dans une lettre adressée au président Émile Lahoud, lue lors de la réunion.
Dans une autre missive, les habitants de la localité ont demandé à l’ambassadeur de France, Philippe Lecourtier, de transmettre leur appel aux autorités de son pays, estimant que cette libération est « un droit légitime conformément notamment au droit français, car (Georges Ibrahim Abdallah) remplit depuis trois ans les conditions nécessaires à sa relaxe ». « Nous exhortons la justice française, le ministre de la Justice en particulier, à sauvegarder l’image de la justice française imprimée dans nos esprits en relâchant Georges Abdallah », ont-ils écrit.
Des amis et des proches se sont réunis dans l’église de l’Immaculée Conception de Qobeyate (village d’origine du prisonnier) en solidarité avec Abdallah, détenu en France depuis 1984 et dont un ordre de remise en liberté conditionnelle a été suspendu jeudi à la suite d’un appel du parquet.
Aujourd’hui âgé de 52 ans, Georges Ibrahim Abdallah avait été condamné à la perpétuité en 1987 pour sa complicité dans l’assassinat de deux diplomates en 1982 à Paris, l’Américain Charles Robert Ray et l’Israélien Yacov Barsimantov, et pour complicité de tentative d’assassinat du consul américain à Strasbourg, Robert Onan Homme, en 1984.
« Nous vous exhortons à intervenir auprès des autorités françaises pour obtenir la libération du fils de Qobeyate, Georges Abdallah », ont écrit les manifestants dans une lettre adressée au président Émile Lahoud, lue lors de la réunion.
Dans une autre missive, les habitants de la localité ont demandé à l’ambassadeur de France, Philippe Lecourtier, de transmettre leur appel aux autorités de son pays, estimant que cette libération est « un droit légitime conformément notamment au droit français, car (Georges Ibrahim Abdallah) remplit depuis trois ans les conditions nécessaires à sa relaxe ». « Nous exhortons la justice française, le ministre de la Justice en particulier, à sauvegarder l’image de la justice française imprimée dans nos esprits en relâchant Georges Abdallah », ont-ils écrit.
Près de cent personnes ont manifesté hier à Qobeyate, dans le caza du Akkar, pour réclamer la libération de Georges Ibrahim Abdallah, condamné en France à la réclusion criminelle à perpétuité.Des amis et des proches se sont réunis dans l’église de l’Immaculée Conception de Qobeyate (village d’origine du prisonnier) en solidarité avec Abdallah, détenu en France...
Les plus commentés
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat
Nasrallah : Israël n’a réalisé aucun de ses objectifs dans cette guerre
Autosécurité : Nadim Gemayel veut rouvrir « Les Yeux d'Achrafieh »