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ÉCHANGE DE PRISONNIERS - Tout se jouera dimanche prochain Sharon et Nasrallah pressés d’en finir

Le Premier ministre israélien et le secrétaire général du Hezbollah sont sur la même longueur d’onde.
Il y a, d’un côté, Ariel Sharon. Qui n’y va pas de main morte et qui dramatise à outrance : « Il s’agit d’une question de vie ou de mort. Les ministres devront décider du sort d’un Israélien. Pour ma part, je suis pour qu’on le sauve », a-t-il dit hier, avant d’invoquer la mémoire d’Yitzhak Rabin. Reconnaissant s’apprêter à livrer une bataille difficile pour convaincre son gouvernement de donner dimanche son feu vert à un échange de prisonniers, très controversé en Israël, avec le Hezbollah.
Il y a, d’un autre côté, Hassan Nasrallah. « Je penche pour l’optimisme. Les choses doivent évoluer logiquement vers un bon résultat (...) et prendre une tournure sérieuse et claire. Le temps presse. Les négociations ont nécessité beaucoup d’efforts et (...) il est temps qu’elles soient tranchées d’une manière ou d’une autre », a-t-il asséné.
Parallèlement à tout cela, l’armée israélienne a annoncé hier avoir découvert et neutralisé huit bombes « posées par le Hezbollah » aux alentours d’un kibboutz mitoyen de la ligne bleue.
Le Premier ministre israélien et le secrétaire général du Hezbollah sont sur la même longueur d’onde.Il y a, d’un côté, Ariel Sharon. Qui n’y va pas de main morte et qui dramatise à outrance : « Il s’agit d’une question de vie ou de mort. Les ministres devront décider du sort d’un Israélien. Pour ma part, je suis pour qu’on le sauve », a-t-il dit hier, avant...