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Le cellulaire entre les deux présidents

« Une loi a été votée. Qu’on l’applique et si d’autres points (relatifs à la privatisation du cellulaire) sont prêts, qu’on en discute. On a parlé de titrisation. Qu’on l’examine. Mon seul souci est que chaque livre aille à l’État. Il n’y a pas de désaccord à ce sujet, mais nous devons établir le mécanisme (de la titrisation) sur base des chiffres disponibles, afin que notre décision soit fondée sur des éléments scientifiques. Il ne faut pas que les rumeurs continuent de courir à ce sujet », a déclaré le président Lahoud dans son intervention au sujet du cellulaire. De son côté, M. Hariri a estimé qu’il faut examiner ce dossier sous plusieurs angles et non pas sous un seul, soulignant son opposition à une vente du secteur cellulaire pour vingt ans. Selon lui, il existe d’autres choix, dont la gestion du secteur par l’État, ou le maintien de 40 % des recettes du cellulaire aux mains de l’État, en plus de la taxe de six cents imposée sur chaque facture et de la TVA.
M. Hariri a en outre indiqué que l’affaire de la titrisation des recettes du tabac n’a toujours pas été tranchée, avant de mettre l’accent sur l’importance de l’apport des recettes de la privatisation pour la réduction du service de la dette. Le chef de l’État devait de nouveau prendre la parole pour assurer que la décision finale au sujet du cellulaire sera prise à la lumière des chiffres disponibles.
« Une loi a été votée. Qu’on l’applique et si d’autres points (relatifs à la privatisation du cellulaire) sont prêts, qu’on en discute. On a parlé de titrisation. Qu’on l’examine. Mon seul souci est que chaque livre aille à l’État. Il n’y a pas de désaccord à ce sujet, mais nous devons établir le mécanisme (de la titrisation) sur base des chiffres...