Une messe a été célébrée en l’église Saint-Antoine à Sodeco pour la treizième commémoration de l’assassinat de Dany Chamoun, chef du Parti national libéral (PNL), de sa femme Ingrid et de ses deux enfants, Tarek et Julian.
L’office a été présidé par Mgr Khalil Abinader, en présence du chef du PNL Dory Chamoun et de sa famille, des membres de la famille Abdelnour, de l’ancien président de la République Amine Gemayel, des députés Farès Souhaid, Mansour el-Bone, Nehmetallah Abinasr, Michel Pharaon, Nabil Boustany et Georges Dib Nehmé, des anciens députés Michel Sassine, Gabriel Murr, Pierre Daccache, Habib Hakim et Mahmoud Ammar, de Mmes Solange Béchir Gemayel et Sethrida Samir Geagea, du représentant personnel au Liban du général Michel Aoun, le général Nadim Lteif, du bâtonnier de l’Ordre des avocats Raymond Chédid, des anciens bâtonniers Chakib Cortbaoui et Michel Khattar, des cadres du Courant patriotique libre (CPL-aouniste) et du PNL, et de MM. Farid el-Khazen et Massoud Achkar.
Dans son homélie, Mgr Abinader a rendu un vibrant hommage à Dany Chamoun, « martyr national » dont le « testament » légué aux Libanais était le suivant : « Ne soyez jamais divisés par vos idées nationales. Tout au contraire rapprochez-vous les uns des autres à chaque occasion ».
M. Chamoun a ensuite pris la parole dans la cour de l’église. « Cela fait treize ans que nous répétons la même chose concernant la situation qui se dégrade, critiquant les responsables et leur gestion du pouvoir à l’aide des mêmes mots (...) », a-t-il affirmé, rendant hommage aux « martyrs du 13 octobre » 1990 et à son frère et sa famille. « Vous étiez attachés aux constantes nationales, défendant le Liban et ses spécificités : unité, coexistence, liberté, dignité et souveraineté », a-t-il indiqué.
« Qu’attendent les Libanais pour éliminer les entraves qui les empêchent de se retrouver et d’initier un dialogue sincère, profond et constructif sur tous les sujets, et qui ne serait pas soumis à des éléments négatifs ? Qu’est-ce qui les rend donc aveugles, à tel point qu’ils ne se rendent pas à l’évidence : leur nation est utilisée depuis un quart de siècle dans le cadre des équilibres régionaux et des intérêts qui allient conflit et rivalité dans la complicité et le partage d’influences », a poursuivi M. Chamoun.
« Les Libanais ont le choix : continuer à se distraire avec les tensions, les slogans et les croyances, de manière à accroître la discorde et à accepter de rester une marchandise dans le bazar des comptes régionaux (...), ou se révolter. Ils ont, dans leur unité et l’attachement à leurs constantes, une bonne garantie de réussite », a-t-il ajouté, en rejetant toute tutelle sur le pays.
L’office a été présidé par Mgr Khalil Abinader, en présence du chef du PNL Dory Chamoun et de sa famille, des membres de la famille Abdelnour, de l’ancien président de la République Amine Gemayel, des députés Farès Souhaid, Mansour el-Bone, Nehmetallah Abinasr, Michel Pharaon, Nabil Boustany et Georges Dib Nehmé, des anciens députés Michel Sassine, Gabriel Murr, Pierre Daccache, Habib Hakim et Mahmoud Ammar, de Mmes Solange Béchir Gemayel et Sethrida Samir Geagea, du représentant personnel au Liban du général Michel Aoun, le général Nadim Lteif, du bâtonnier de l’Ordre des avocats Raymond Chédid, des anciens bâtonniers Chakib Cortbaoui et Michel Khattar, des cadres du Courant patriotique libre (CPL-aouniste) et du PNL, et de MM. Farid el-Khazen et Massoud Achkar.
Dans son homélie, Mgr Abinader a rendu un vibrant hommage à Dany Chamoun, « martyr national » dont le « testament » légué aux Libanais était le suivant : « Ne soyez jamais divisés par vos idées nationales. Tout au contraire rapprochez-vous les uns des autres à chaque occasion ».
M. Chamoun a ensuite pris la parole dans la cour de l’église. « Cela fait treize ans que nous répétons la même chose concernant la situation qui se dégrade, critiquant les responsables et leur gestion du pouvoir à l’aide des mêmes mots (...) », a-t-il affirmé, rendant hommage aux « martyrs du 13 octobre » 1990 et à son frère et sa famille. « Vous étiez attachés aux constantes nationales, défendant le Liban et ses spécificités : unité, coexistence, liberté, dignité et souveraineté », a-t-il indiqué.
« Qu’attendent les Libanais pour éliminer les entraves qui les empêchent de se retrouver et d’initier un dialogue sincère, profond et constructif sur tous les sujets, et qui ne serait pas soumis à des éléments négatifs ? Qu’est-ce qui les rend donc aveugles, à tel point qu’ils ne se rendent pas à l’évidence : leur nation est utilisée depuis un quart de siècle dans le cadre des équilibres régionaux et des intérêts qui allient conflit et rivalité dans la complicité et le partage d’influences », a poursuivi M. Chamoun.
« Les Libanais ont le choix : continuer à se distraire avec les tensions, les slogans et les croyances, de manière à accroître la discorde et à accepter de rester une marchandise dans le bazar des comptes régionaux (...), ou se révolter. Ils ont, dans leur unité et l’attachement à leurs constantes, une bonne garantie de réussite », a-t-il ajouté, en rejetant toute tutelle sur le pays.
Une messe a été célébrée en l’église Saint-Antoine à Sodeco pour la treizième commémoration de l’assassinat de Dany Chamoun, chef du Parti national libéral (PNL), de sa femme Ingrid et de ses deux enfants, Tarek et Julian. L’office a été présidé par Mgr Khalil Abinader, en présence du chef du PNL Dory Chamoun et de sa famille, des membres de la famille Abdelnour,...
Les plus commentés
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat
Nasrallah : Israël n’a réalisé aucun de ses objectifs dans cette guerre
Autosécurité : Nadim Gemayel veut rouvrir « Les Yeux d'Achrafieh »