La Mission culturelle française et l’ambassade de France au Liban organisent le premier festival d’animation à la salle Montaigne du CCF. En vedette, des films russes, canadiens, tchèques, anglais et, bien sûr, le meilleur de l’animation française. Séance à 2000 LL.
Les films
Tristan et Iseut, de Thierry Schiel (France, couleur, 83 minutes, 2002). La grande histoire d’amour du Moyen Âge.
Corto Maltese, la cour secrète des arcanes, de Pascal Morelli (France, couleur, 93 minutes, 2002). Inspiré de l’album d’Hugo Pratt, Corto Maltese en Sibérie, le film raconte les aventures du beau héros ténébreux en 1919 en Russie, partant à la rescousse des trains blindés transportant de grandes quantités d’or entre la Russie, la Sibérie et la Mandchourie, qui serviront au gouvernement contre-révolutionnaire. Un trésor qui suscite bien des convoitises.
Le conte des contes, de Youri Norstein (Russie, couleur, 46 minutes, 1979). Meilleur film d’animation de tous les temps aux Olympiades de Los Angeles de 1984. Entre scènes familiales et bal étrange, un petit loup gris...
Institut Benjamenta, ce rêve qu’on appelle la vie, de Stephen Quay et Timothy Quay (Angleterre, noir et blanc, 104 minutes, 1995). Inspiré de la nouvelle Jakob von Gunten de Robert Walser. Dans un institut de formation pour majordomes, Jakob, nouveau venu, erre dans un bâtiment délabré pour comprendre ce qui se passe dans cet étrange établissement.
In absentia, des frères Quay (Angleterre, couleur, 20 minutes, 2000). Quinzaine des réalisateurs 2000. Ouverture du Festival de l’étrange 2000. Ce film fait partie d’une série de quatre réalisations commandées par la BBC, quatre collaborations entre cinéastes et musiciens. Les frères Quay ont mis leurs images en musique avec une partition de Stockhausen, tandis que les trois autres tandems, qui seront projetés après In absentia, sont composés de Hal Hartley et de Louis Andriessen, de Nicolas Roeg et d’Adrian Utley (Portishead), de Werner Herzog et de John Tavener.
Bécassine, le trésor viking, de Philippe Vidal (France, couleur, 85 minutes, 2001). Edmond, le mari de Loulotte, est en reportage au pôle Nord et ne donne plus de ses nouvelles. Entre-temps, sa femme avait demandé à sa cousine Bécassine de venir garder sa fille Charlotte pendant qu’elle serait à Venise pour participer à un concours de sculpteurs. Elles décident de partir à la recherche d’Edmond...
Le voyage de Chihiro, de Hayao Miyazaki (Japon, couleur, 125 minutes, 2001). Au cours du voyage qui l’emmène avec ses parents vers sa nouvelle maison, Chihiro, petite fille de 10 ans, se retrouve seule dans l’univers fantasmagorique d’un parc à thèmes délabré et apparemment inoffensif. L’énigmatique Haku est son seul allié...
Le château des singes, de Jean-François Laguionie (France, couleur, 80 minutes, 1998). Un jeune singe de la tribu des Woonkos brave les frayeurs ancestrales de son peuple, se retrouve projeté dans le monde honni des Laankos et dans l’univers du château des singes.
Gwen, le livre de sable, de Jean-François Laguionie (France, couleur, 67 minutes, 1984). Un étrange voyage accompli par Gwen, 13 ans, dans un désert habité par le Makou, une étrange machine crachant des objets hétéroclites de civilisations disparues...
La reine des neiges, de Lev Atamanov (Russie, couleur, 70 minutes, 1957). Une histoire inspirée d’un conte d’Andersen.
Bardine tous courts, cinq courts-métrages russes réalisés entre 1985 et 2000: Conflit, Le mariage, Fioritures, Adagio et La boxe.
Le vieil homme et la mer, d’Aleksandr Petrov (Canada, couleur, 40 minutes, 1999). Inspiré de la nouvelle éponyme d’Ernest Hemingway.
Robinson et Cie, de Jacques Colombat (France, couleur, 70 minutes, 1991). D’après le roman éponyme de Daniel Defoe.
La planète sauvage, de René Laloux (France, couleur, 69 minutes, 1973). D’après le roman de Stefan Wul, OMS en série (1957). La planète Ygam est habitée par les Draags. À la suite d’une expédition, ces derniers ramènent chez les Oms des animaux domestiques. L’un d’eux s’initie au savoir de ses maîtres avant de rejoindre les Oms sauvages.
Le programme
– Lundi 26, 16h30: Tristan et Iseut; 20h, Corto Maltese, la cour secrète des arcanes.
– Mardi 27, 16h30: les vieilles légendes tchèques; 20h et 22h, courts-métrages tchèques.
– Mercredi 28, 16h30: Le conte des contes ; 20h, Institut Benjamenta, ce rêve qu’on appelle la vie; 22h, In absentia.
– Jeudi 29, 16h30: Bécassine, le trésor viking; 20h, Le voyage de Chihiro.
– Vendredi 30, 16h30: Le château des singes; 20h et 22h, courts-métrages français.
– Samedi 31 mai, 10h30: Gwen, le livre de sable; 16h30, La reine des neiges ; 20h, Bardine tous courts et Le vieil homme et la mer.
– Dimanche 1er juin, 10h30: Le château des singes; 16h30, Robinson et Cie; 22h, La planète sauvage.
Les films
Tristan et Iseut, de Thierry Schiel (France, couleur, 83 minutes, 2002). La grande histoire d’amour du Moyen Âge.
Corto Maltese, la cour secrète des arcanes, de Pascal Morelli (France, couleur, 93 minutes, 2002). Inspiré de l’album d’Hugo Pratt, Corto Maltese en Sibérie, le film raconte les aventures du beau héros ténébreux en 1919 en Russie, partant à la rescousse des trains blindés transportant de grandes quantités d’or entre la Russie, la Sibérie et la Mandchourie, qui serviront au gouvernement contre-révolutionnaire. Un trésor qui suscite bien des convoitises.
Le conte des contes, de Youri Norstein (Russie, couleur, 46 minutes, 1979). Meilleur film d’animation de tous les temps aux Olympiades de Los Angeles de 1984. Entre scènes familiales et bal étrange, un petit loup gris...
Institut Benjamenta, ce rêve qu’on appelle la vie, de Stephen Quay et Timothy Quay (Angleterre, noir et blanc, 104 minutes, 1995). Inspiré de la nouvelle Jakob von Gunten de Robert Walser. Dans un institut de formation pour majordomes, Jakob, nouveau venu, erre dans un bâtiment délabré pour comprendre ce qui se passe dans cet étrange établissement.
In absentia, des frères Quay (Angleterre, couleur, 20 minutes, 2000). Quinzaine des réalisateurs 2000. Ouverture du Festival de l’étrange 2000. Ce film fait partie d’une série de quatre réalisations commandées par la BBC, quatre collaborations entre cinéastes et musiciens. Les frères Quay ont mis leurs images en musique avec une partition de Stockhausen, tandis que les trois autres tandems, qui seront projetés après In absentia, sont composés de Hal Hartley et de Louis Andriessen, de Nicolas Roeg et d’Adrian Utley (Portishead), de Werner Herzog et de John Tavener.
Bécassine, le trésor viking, de Philippe Vidal (France, couleur, 85 minutes, 2001). Edmond, le mari de Loulotte, est en reportage au pôle Nord et ne donne plus de ses nouvelles. Entre-temps, sa femme avait demandé à sa cousine Bécassine de venir garder sa fille Charlotte pendant qu’elle serait à Venise pour participer à un concours de sculpteurs. Elles décident de partir à la recherche d’Edmond...
Le voyage de Chihiro, de Hayao Miyazaki (Japon, couleur, 125 minutes, 2001). Au cours du voyage qui l’emmène avec ses parents vers sa nouvelle maison, Chihiro, petite fille de 10 ans, se retrouve seule dans l’univers fantasmagorique d’un parc à thèmes délabré et apparemment inoffensif. L’énigmatique Haku est son seul allié...
Le château des singes, de Jean-François Laguionie (France, couleur, 80 minutes, 1998). Un jeune singe de la tribu des Woonkos brave les frayeurs ancestrales de son peuple, se retrouve projeté dans le monde honni des Laankos et dans l’univers du château des singes.
Gwen, le livre de sable, de Jean-François Laguionie (France, couleur, 67 minutes, 1984). Un étrange voyage accompli par Gwen, 13 ans, dans un désert habité par le Makou, une étrange machine crachant des objets hétéroclites de civilisations disparues...
La reine des neiges, de Lev Atamanov (Russie, couleur, 70 minutes, 1957). Une histoire inspirée d’un conte d’Andersen.
Bardine tous courts, cinq courts-métrages russes réalisés entre 1985 et 2000: Conflit, Le mariage, Fioritures, Adagio et La boxe.
Le vieil homme et la mer, d’Aleksandr Petrov (Canada, couleur, 40 minutes, 1999). Inspiré de la nouvelle éponyme d’Ernest Hemingway.
Robinson et Cie, de Jacques Colombat (France, couleur, 70 minutes, 1991). D’après le roman éponyme de Daniel Defoe.
La planète sauvage, de René Laloux (France, couleur, 69 minutes, 1973). D’après le roman de Stefan Wul, OMS en série (1957). La planète Ygam est habitée par les Draags. À la suite d’une expédition, ces derniers ramènent chez les Oms des animaux domestiques. L’un d’eux s’initie au savoir de ses maîtres avant de rejoindre les Oms sauvages.
Le programme
– Lundi 26, 16h30: Tristan et Iseut; 20h, Corto Maltese, la cour secrète des arcanes.
– Mardi 27, 16h30: les vieilles légendes tchèques; 20h et 22h, courts-métrages tchèques.
– Mercredi 28, 16h30: Le conte des contes ; 20h, Institut Benjamenta, ce rêve qu’on appelle la vie; 22h, In absentia.
– Jeudi 29, 16h30: Bécassine, le trésor viking; 20h, Le voyage de Chihiro.
– Vendredi 30, 16h30: Le château des singes; 20h et 22h, courts-métrages français.
– Samedi 31 mai, 10h30: Gwen, le livre de sable; 16h30, La reine des neiges ; 20h, Bardine tous courts et Le vieil homme et la mer.
– Dimanche 1er juin, 10h30: Le château des singes; 16h30, Robinson et Cie; 22h, La planète sauvage.
La Mission culturelle française et l’ambassade de France au Liban organisent le premier festival d’animation à la salle Montaigne du CCF. En vedette, des films russes, canadiens, tchèques, anglais et, bien sûr, le meilleur de l’animation française. Séance à 2000 LL.Les filmsTristan et Iseut, de Thierry Schiel (France, couleur, 83 minutes, 2002). La grande histoire...
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