Le chef du gouvernement Rafic Hariri a réaffirmé à partir de Londres où il a effectué une visite officielle, hier, que le Liban ne peut pas adhérer à « la feuille de route », puisque ce plan de paix concerne strictement les Palestiniens et les Israéliens. Il a, en revanche, plaidé en faveur d’un plan de paix séparé pour le Liban et la Syrie avec Israël. Celui-ci serait cependant mis en place en concomitance avec la « feuille de route ».
M. Hariri a tenu ces propos au terme d’un entretien, au 10 Downing Street, avec son homologue britannique, Tony Blair. Il devait conférer auparavant avec le président de la Banque mondiale, James Wolfensohn, en visite à Londres.
Le Premier ministre est attendu aujourd’hui à Beyrouth, venant de Damas, où il a effectué une escale sur le chemin du retour et où il doit avoir ce matin une série d’entretiens avec les responsables syriens.
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M. Hariri a tenu ces propos au terme d’un entretien, au 10 Downing Street, avec son homologue britannique, Tony Blair. Il devait conférer auparavant avec le président de la Banque mondiale, James Wolfensohn, en visite à Londres.
Le Premier ministre est attendu aujourd’hui à Beyrouth, venant de Damas, où il a effectué une escale sur le chemin du retour et où il doit avoir ce matin une série d’entretiens avec les responsables syriens.
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Le chef du gouvernement Rafic Hariri a réaffirmé à partir de Londres où il a effectué une visite officielle, hier, que le Liban ne peut pas adhérer à « la feuille de route », puisque ce plan de paix concerne strictement les Palestiniens et les Israéliens. Il a, en revanche, plaidé en faveur d’un plan de paix séparé pour le Liban et la Syrie avec Israël. Celui-ci serait...
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