Ennemi juré, mais rigolard, du snobisme intello, l’humoriste Francis Blanche menaçait : « Quand quelqu’un me parle de culture, je sors mon revolver. » On devrait en faire de même quand un politicien, ou un homme public, promet de combattre la corruption. Car de deux choses la troisième : ou l’on a affaire à un traître de classe ; ou c’est un suicidaire que l’on a en face de soi ; ou c’est un menteur. Dans les trois cas, le bon sens blanchien, qui n’est pas fait pour les chiens, commande de passer son chemin. En hochant la tête avec un petit sourire de méfiance. Polie, comme la fausse honnêteté. J.I.
Ennemi juré, mais rigolard, du snobisme intello, l’humoriste Francis Blanche menaçait : « Quand quelqu’un me parle de culture, je sors mon revolver. » On devrait en faire de même quand un politicien, ou un homme public, promet de combattre la corruption. Car de deux choses la troisième : ou l’on a affaire à un traître de classe ; ou c’est un suicidaire que l’on a en...
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