La discussion a porté sur des questions intéressant le journalisme. « J’ai tenu à montrer à travers ma démarche que la presse restera pour les Libanais, et plus particulièrement pour l’État, la véritable référence en matière de liberté d’expression et d’opinion », a déclaré M. Samaha au terme de la réunion, estimant que la presse écrite restera également « la plus fiable pour refléter la réalité, répercuter les points de vue et aller à la quête de la vérité ».
À son tour, M. Baalbacki a fait état d’une concordance de vues sur la nécessité de préserver l’existence de la presse écrite et de garantir sa survie, mais en maintenant le niveau « susceptible de lui permettre d’assumer sa mission historique au service de la liberté d’opinion, de croyance et d’expression, ainsi que des intérêts supérieurs du Liban et des Arabes». « Aussi, a-t-il poursuivi, avons-nous soulevé diverses questions liées aux domaines de l’information, de la publicité et de la distribution. »
Les plus commentés
Israël est en train de perdre, mais pas autant que les Palestiniens
Don de l'UE : après avoir déclaré la guerre à Mikati, les chrétiens proposent-ils la paix ?
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat