Dans un communiqué publié hier, la FDHDH a insisté sur « les points essentiels » suivants :
• Le droit à l’égalité et le droit à la vie, comme prévu dans la Déclaration universelle des droits de l’homme.
• Les droits sociaux et économiques, le droit à l’assurance sociale, le droit au travail, et le droit à une vie digne, même dans des circonstances exceptionnelles, indépendantes de la volonté du patient.
L’importance que méritent ces droits essentiels, poursuit le communiqué, « met en évidence un problème social très grave auquel se trouve confrontée une catégorie de personnes qui souffrent de l’inégalité sociale et du manque d’emploi ».
« Ces personnes n’ont pas besoin de l’assistance qu’offrent généralement les ONG, mais d’une législation qui leur assurerait l’égalité des chances à défaut de l’égalité de la situation sociale, qui est irréalisable dans les conditions actuelles », a ajouté la FDHDH dans son communiqué, avant de conclure : « Une telle mesure, qui donne la priorité légale à une catégorie de personnes qui représente le maillon le plus faible de la société, est appliquée dans les pays économiquement et socialement développés, comme la France par exemple ».
Les plus commentés
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat
Nasrallah : Israël n’a réalisé aucun de ses objectifs dans cette guerre
Autosécurité : Nadim Gemayel veut rouvrir « Les Yeux d'Achrafieh »