Dans le cadre de sa tournée des institutions gouvernementales, le président de la République, le général Émile Lahoud, s’est rendu hier au siège de la Caisse nationale de Sécurité sociale, à Wata Mousseitbé, où il a rencontré plusieurs assurés qui lui ont fait part des difficultés qu’ils rencontrent dans l’accomplissement de leurs formalités.
Le chef de l’État a également visité les lieux avant de s’entretenir avec les responsables des différents départements, leur recommandant d’accélérer les formalités, d’informatiser tous les secteurs de la Caisse pour éviter les retards de règlement et de relancer les activités de la section d’inspection.
La situation financière de la CNSS a été évoquée au cours d’un entretien avec le président du conseil d’administration, Maurice Abou Nader, qui a prévenu que la Caisse se trouvera prochainement forcée de cesser le règlement des factures des assurés.
Le président Lahoud a insisté sur la nécessité de clôturer les comptes de l’année 2002 le plus rapidement possible pour connaître la réalité de la situation financière de cette institution, surtout que le président et les membres du conseil d’administration réclament le versement des budgets alloués à la CNSS depuis 1998 et se chiffrant à 270 milliards de livres libanaises, en sus du règlement des contributions dues par les différentes administrations jusqu’au 31 décembre 2002 et qui s’élèvent à 283 milliards de livres.
« Certains proposent d’augmenter la cotisation des assurés afin d’améliorer la situation financière de la CNSS. Cette solution ne saurait être favorablement accueillie par les assurés qu’en cas d’amélioration des prestations et de simplification des formalités », a dit le chef de l’État aux responsables de la Caisse.
Vous devez savoir, a ajouté le président Lahoud à l’intention de ses interlocuteurs, « que les gens ne se sentent pas tellement concernés par les affaires politiques et ne cherchent qu’à s’assurer une vie digne (...). En ce qui vous concerne, soumettez-nous vos suggestions, informez-nous des montants qui vous sont dus par les différentes administrations, préparez un budget offrant un minimum d’équilibre et organisez votre travail pour répondre aux revendications des assurés ».
Au moment de quitter le siège de la CNSS, le chef de l’État a remarqué que l’horloge pointeuse était d’un modèle ancien. Il a donc demandé aux responsables de la remplacer par une pointeuse électronique semblable à celles dont sont équipées de nombreuses administrations.
Le chef de l’État a également visité les lieux avant de s’entretenir avec les responsables des différents départements, leur recommandant d’accélérer les formalités, d’informatiser tous les secteurs de la Caisse pour éviter les retards de règlement et de relancer les activités de la section d’inspection.
La situation financière de la CNSS a été évoquée au cours d’un entretien avec le président du conseil d’administration, Maurice Abou Nader, qui a prévenu que la Caisse se trouvera prochainement forcée de cesser le règlement des factures des assurés.
Le président Lahoud a insisté sur la nécessité de clôturer les comptes de l’année 2002 le plus rapidement possible pour connaître la réalité de la situation financière de cette institution, surtout que le président et les membres du conseil d’administration réclament le versement des budgets alloués à la CNSS depuis 1998 et se chiffrant à 270 milliards de livres libanaises, en sus du règlement des contributions dues par les différentes administrations jusqu’au 31 décembre 2002 et qui s’élèvent à 283 milliards de livres.
« Certains proposent d’augmenter la cotisation des assurés afin d’améliorer la situation financière de la CNSS. Cette solution ne saurait être favorablement accueillie par les assurés qu’en cas d’amélioration des prestations et de simplification des formalités », a dit le chef de l’État aux responsables de la Caisse.
Vous devez savoir, a ajouté le président Lahoud à l’intention de ses interlocuteurs, « que les gens ne se sentent pas tellement concernés par les affaires politiques et ne cherchent qu’à s’assurer une vie digne (...). En ce qui vous concerne, soumettez-nous vos suggestions, informez-nous des montants qui vous sont dus par les différentes administrations, préparez un budget offrant un minimum d’équilibre et organisez votre travail pour répondre aux revendications des assurés ».
Au moment de quitter le siège de la CNSS, le chef de l’État a remarqué que l’horloge pointeuse était d’un modèle ancien. Il a donc demandé aux responsables de la remplacer par une pointeuse électronique semblable à celles dont sont équipées de nombreuses administrations.
Dans le cadre de sa tournée des institutions gouvernementales, le président de la République, le général Émile Lahoud, s’est rendu hier au siège de la Caisse nationale de Sécurité sociale, à Wata Mousseitbé, où il a rencontré plusieurs assurés qui lui ont fait part des difficultés qu’ils rencontrent dans l’accomplissement de leurs formalités.Le chef de l’État a...
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