Après des semaines de tergiversations, les premiers éléments de la force de paix africaine sont arrivés hier par hélicoptère au Liberia, où des habitants à bout de force se sont mis à danser dans les rues dévastées de la capitale libérienne Monrovia avec l’espoir d’enterrer quatorze années de guerre civile et de massacres.
Sous une forte pluie, des soldats nigérians portant casques et tenues de camouflage sont descendus au pas de course sur l’aéroport international, situé à 45 km environ de Monrovia, afin de prendre position aux abords du tarmac. Les soldats veulent d’abord sécuriser l’aérogare avant de gagner le centre de la ville. Le contingent nigérian au complet devrait compter 1 500 hommes dans quelques jours. Par ailleurs, les rebelles du Lurd ont annoncé hier qu’ils se retireraient de la capitale dès l’arrivée des forces de maintien de la paix.
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Sous une forte pluie, des soldats nigérians portant casques et tenues de camouflage sont descendus au pas de course sur l’aéroport international, situé à 45 km environ de Monrovia, afin de prendre position aux abords du tarmac. Les soldats veulent d’abord sécuriser l’aérogare avant de gagner le centre de la ville. Le contingent nigérian au complet devrait compter 1 500 hommes dans quelques jours. Par ailleurs, les rebelles du Lurd ont annoncé hier qu’ils se retireraient de la capitale dès l’arrivée des forces de maintien de la paix.
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Après des semaines de tergiversations, les premiers éléments de la force de paix africaine sont arrivés hier par hélicoptère au Liberia, où des habitants à bout de force se sont mis à danser dans les rues dévastées de la capitale libérienne Monrovia avec l’espoir d’enterrer quatorze années de guerre civile et de massacres.Sous une forte pluie, des soldats nigérians...
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