Après avoir accepté la démission de Mohammed Moustapha Miro, le président syrien Bachar el-Assad a chargé le chef du Parlement Mohammed Naji Otri, membre de la direction du parti Baas au pouvoir, de former un nouveau gouvernement.
La nouvelle équipe devra hâter les réformes et libéraliser l’économie. En attendant, le gouvernement sortant, formé en décembre 2001, doit « expédier les affaires courantes » jusqu’à la formation d’un nouveau cabinet.
Depuis un certain temps déjà, M. Miro essuyait de critiques virulentes sur sa politique. Il lui était reproché de ne définir aucun objectif précis pour lutter contre la corruption et réformer l’administration. C’est précisément l’objectif imparti au nouveau gouvernement qui devra, selon une source anonyme, « poursuivre et hâter les réformes économiques et administratives ».
La nouvelle équipe devra hâter les réformes et libéraliser l’économie. En attendant, le gouvernement sortant, formé en décembre 2001, doit « expédier les affaires courantes » jusqu’à la formation d’un nouveau cabinet.
Depuis un certain temps déjà, M. Miro essuyait de critiques virulentes sur sa politique. Il lui était reproché de ne définir aucun objectif précis pour lutter contre la corruption et réformer l’administration. C’est précisément l’objectif imparti au nouveau gouvernement qui devra, selon une source anonyme, « poursuivre et hâter les réformes économiques et administratives ».
Après avoir accepté la démission de Mohammed Moustapha Miro, le président syrien Bachar el-Assad a chargé le chef du Parlement Mohammed Naji Otri, membre de la direction du parti Baas au pouvoir, de former un nouveau gouvernement. La nouvelle équipe devra hâter les réformes et libéraliser l’économie. En attendant, le gouvernement sortant, formé en décembre 2001, doit «...
Les plus commentés
Retour des Syriens : Assad s'impose dans le débat
Nasrallah : Israël n’a réalisé aucun de ses objectifs dans cette guerre
Autosécurité : Nadim Gemayel veut rouvrir « Les Yeux d'Achrafieh »